Republique_centrafricaine.mp3 (93.67 Ko)
L’analyse d’experts des nouvelles images satellite de la République centrafricaine obtenues par Amnesty International révèle les terribles ravages causés par les atteintes aux droits humains imputables aux groupes armés et aux forces de sécurité, emportés dans une spirale de la violence.
Sur ces images, dont certaines ont été prises début novembre, on peut voir que 485 habitations ont été incendiées à Bouca, et que de nombreuses personnes déplacées sont rassemblées près de la ville de Bossangoa, la population fuyant les violences qui s’y déroulent.
"Si ces nouvelles images offrent un aperçu des dégâts au niveau de l’habitat et de la vie civique visibles depuis l’espace, il est tout à fait impossible de saisir depuis un satellite l’ampleur réelle des répercussions de la crise en termes humains", a indiqué Aster van Kregten, directrice adjointe du programme Afrique d’Amnesty International.
Sur ces images, dont certaines ont été prises début novembre, on peut voir que 485 habitations ont été incendiées à Bouca, et que de nombreuses personnes déplacées sont rassemblées près de la ville de Bossangoa, la population fuyant les violences qui s’y déroulent.
"Si ces nouvelles images offrent un aperçu des dégâts au niveau de l’habitat et de la vie civique visibles depuis l’espace, il est tout à fait impossible de saisir depuis un satellite l’ampleur réelle des répercussions de la crise en termes humains", a indiqué Aster van Kregten, directrice adjointe du programme Afrique d’Amnesty International.