Photo (c) Mark Garten / ONU
"L'âge de ces enfants varie entre 8 et 17 ans. Ils ont été identifiés et séparés dans les territoires de Moba, Monono, ainsi qu'à Kayumba et Kabwela, dans la province du Katanga, grâce à une action combinée des agences œuvrant dans le domaine de la protection de l'enfant", a expliqué la mission onusienne dans un communiqué de presse.
Les enfants auraient été recrutés durant les six derniers mois par les Mayi-Mayi Bakata-Katanga. 40 enfants ont été immédiatement réunis avec leurs familles. Les autres continuent de bénéficier d'une assistance appropriée en attendant d'être réunifiés à leur tour, avec leurs familles.
"Nous sommes très préoccupés par les rapports faisant état de recrutements en cours, par le groupe Mayi-Mayi Bakata-Katanga mais aussi par d'autres groupes à l'Est de la RDC", a déclaré le Représentant spécial du Secrétaire général et Chef de la MONUSCO, Martin Kobler. "Les enfants font face à des risques inacceptables quand ils sont recrutés pour faire la guerre. Le recrutement des enfants, et particulièrement ceux en dessous de 15 ans, pourrait constituer un crime de guerre et ceux qui en sont responsables peuvent en répondre devant la justice."
Depuis le début de cette année, 163 enfants dont 22 filles ont été séparés des Mayi-Mayi Bakata-Katanga par la MONUSCO et les partenaires œuvrant dans le secteur de la protection de l'enfant.
Les enfants auraient été recrutés durant les six derniers mois par les Mayi-Mayi Bakata-Katanga. 40 enfants ont été immédiatement réunis avec leurs familles. Les autres continuent de bénéficier d'une assistance appropriée en attendant d'être réunifiés à leur tour, avec leurs familles.
"Nous sommes très préoccupés par les rapports faisant état de recrutements en cours, par le groupe Mayi-Mayi Bakata-Katanga mais aussi par d'autres groupes à l'Est de la RDC", a déclaré le Représentant spécial du Secrétaire général et Chef de la MONUSCO, Martin Kobler. "Les enfants font face à des risques inacceptables quand ils sont recrutés pour faire la guerre. Le recrutement des enfants, et particulièrement ceux en dessous de 15 ans, pourrait constituer un crime de guerre et ceux qui en sont responsables peuvent en répondre devant la justice."
Depuis le début de cette année, 163 enfants dont 22 filles ont été séparés des Mayi-Mayi Bakata-Katanga par la MONUSCO et les partenaires œuvrant dans le secteur de la protection de l'enfant.