Les troubles Dys, ces handicaps invisibles qui affectent les compétences cognitives liées à la lecture, à l'écriture, à la coordination motrice et à la communication, sont souvent méconnus et mal compris. Cependant, un événement récent a mis en lumière ces difficultés et a cherché à sensibiliser le grand public à la réalité vécue par les personnes atteintes de ces troubles.
La Fédération Française des Dys et l'association Atoutdys ont organisé une projection spéciale du documentaire "Leurs mots à dire" au lycée Valin de La Rochelle. Ce film saisissant présente les témoignages de lycéens dyslexiques, dyspraxiques et dysphasiques qui partagent leur quotidien et leur ressenti à travers un atelier d'écriture animé par le rappeur Hippocampe Fou. L'objectif de cette projection était double : d'une part, sensibiliser le public aux défis auxquels sont confrontées ces personnes aux troubles Dys et, d'autre part, discuter des actions concrètes nécessaires pour une société inclusive envers elles. Après la diffusion du documentaire, un débat animé par Nathalie GROH, Présidente de la Fédération Française des Dys, a permis d'échanger avec le public sur les enjeux liés à ces troubles.
Sont intervenus :
Nicole Philibert, Présidente d'AtoutDys
Sandrine Chaix, Vice-présidente de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, déléguée à l'action sociale et au Handicap
Alexandra Riguet, Réalisatrice du film
Véronique Montangerand, représentante du recteur de l'académie de Lyon ou sa représentante.
Salwa Philibert, Sous-Préfète référente handicap et inclusion
Guillaume Bonneville, Directeur Territorial du FIPHFP Auvergne-Rhône-Alpes
Sandrine Sonié, médecin de la future PCO du Rhône
Olivier Bertrand, Directeur du Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon - CRNL
Yvan Patet, Président du Groupe em2c
Raphaël Glabi, Directeur de l'autonomie à l'Agence régionale de santé (ARS) Auvergne-Rhône-Alpes
La Fédération Française des Dys et l'association Atoutdys ont organisé une projection spéciale du documentaire "Leurs mots à dire" au lycée Valin de La Rochelle. Ce film saisissant présente les témoignages de lycéens dyslexiques, dyspraxiques et dysphasiques qui partagent leur quotidien et leur ressenti à travers un atelier d'écriture animé par le rappeur Hippocampe Fou. L'objectif de cette projection était double : d'une part, sensibiliser le public aux défis auxquels sont confrontées ces personnes aux troubles Dys et, d'autre part, discuter des actions concrètes nécessaires pour une société inclusive envers elles. Après la diffusion du documentaire, un débat animé par Nathalie GROH, Présidente de la Fédération Française des Dys, a permis d'échanger avec le public sur les enjeux liés à ces troubles.
Sont intervenus :
Nicole Philibert, Présidente d'AtoutDys
Sandrine Chaix, Vice-présidente de la Région Auvergne-Rhône-Alpes, déléguée à l'action sociale et au Handicap
Alexandra Riguet, Réalisatrice du film
Véronique Montangerand, représentante du recteur de l'académie de Lyon ou sa représentante.
Salwa Philibert, Sous-Préfète référente handicap et inclusion
Guillaume Bonneville, Directeur Territorial du FIPHFP Auvergne-Rhône-Alpes
Sandrine Sonié, médecin de la future PCO du Rhône
Olivier Bertrand, Directeur du Centre de Recherche en Neurosciences de Lyon - CRNL
Yvan Patet, Président du Groupe em2c
Raphaël Glabi, Directeur de l'autonomie à l'Agence régionale de santé (ARS) Auvergne-Rhône-Alpes
trouble-dys.mp3 (2.9 Mo)
La projection de "Leurs mots à dire" : Des récits puissants révèlent les défis des troubles Dys
La projection du documentaire "Leurs mots à dire" d'Alexandra Riguet a emmené le public dans un voyage profond, mettant en lumière la vie des lycéens dyslexiques, dyspraxiques et dysphasiques. À travers l'objectif d'un atelier d'écriture animé par le talentueux rappeur Hippocampe Fou, le film a capturé les expériences brutes et authentiques de ces jeunes individus vivant avec des handicaps invisibles. Leurs histoires ont été un témoignage puissant de leur résilience et de leur détermination. Les récits personnels partagés dans le documentaire ont offert un aperçu des défis quotidiens auxquels sont confrontées les personnes atteintes de troubles Dys. Des difficultés pour lire et écrire avec fluidité aux stigmates sociaux et aux idées fausses, ces étudiants ont montré leur esprit indomptable et les façons uniques dont ils naviguent dans le monde. Le documentaire a non seulement souligné leurs difficultés, mais a également mis en évidence leurs forces, leur créativité et leur potentiel inexploité.
Lors du débat en panel intitulé "Les troubles Dys au sein des Troubles du Neuro-Développement : actions concrètes pour une société inclusive", un groupe diversifié d'experts et de défenseurs s'est réuni pour aborder les problèmes pressants entourant les troubles Dys. L'un des principaux points de discussion était le besoin urgent d'actions concrètes pour créer une société véritablement inclusive pour les personnes atteintes de troubles Dys.
Nicole Philibert, présidente d'AtoutDys, a souligné l'importance de mettre en place des systèmes de soutien et des ressources pour les personnes atteintes de troubles Dys. Elle a déclaré : "Nous devons nous assurer que ces individus ne soient ni marginalisés ni ignorés. Ils possèdent des talents et des perspectives uniques qui peuvent contribuer énormément à notre société s'ils sont donnés les bonnes opportunités." Sandrine Chaix, vice-présidente de la région Auvergne-Rhône-Alpes, a souligné l'importance de sensibiliser et de favoriser la compréhension parmi le grand public. "En sensibilisant aux troubles Dys, nous pouvons favoriser l'empathie et créer un environnement plus inclusif où ces individus peuvent s'épanouir", a-t-elle affirmé. La discussion a également abordé les défis de longue date auxquels sont confrontées les personnes atteintes de troubles Dys, notamment le manque de soutien éducatif approprié et l'absence de centres spécialisés. Salwa Philibert, sous-préfète référente handicap et inclusion, a exprimé son engagement à résoudre ces problèmes. "Nous devons travailler en collaboration avec les établissements d'enseignement, les organismes gouvernementaux et les organisations pour combler les lacunes et garantir des opportunités égales pour tous", a-t-elle souligné.
Lors du débat en panel intitulé "Les troubles Dys au sein des Troubles du Neuro-Développement : actions concrètes pour une société inclusive", un groupe diversifié d'experts et de défenseurs s'est réuni pour aborder les problèmes pressants entourant les troubles Dys. L'un des principaux points de discussion était le besoin urgent d'actions concrètes pour créer une société véritablement inclusive pour les personnes atteintes de troubles Dys.
Nicole Philibert, présidente d'AtoutDys, a souligné l'importance de mettre en place des systèmes de soutien et des ressources pour les personnes atteintes de troubles Dys. Elle a déclaré : "Nous devons nous assurer que ces individus ne soient ni marginalisés ni ignorés. Ils possèdent des talents et des perspectives uniques qui peuvent contribuer énormément à notre société s'ils sont donnés les bonnes opportunités." Sandrine Chaix, vice-présidente de la région Auvergne-Rhône-Alpes, a souligné l'importance de sensibiliser et de favoriser la compréhension parmi le grand public. "En sensibilisant aux troubles Dys, nous pouvons favoriser l'empathie et créer un environnement plus inclusif où ces individus peuvent s'épanouir", a-t-elle affirmé. La discussion a également abordé les défis de longue date auxquels sont confrontées les personnes atteintes de troubles Dys, notamment le manque de soutien éducatif approprié et l'absence de centres spécialisés. Salwa Philibert, sous-préfète référente handicap et inclusion, a exprimé son engagement à résoudre ces problèmes. "Nous devons travailler en collaboration avec les établissements d'enseignement, les organismes gouvernementaux et les organisations pour combler les lacunes et garantir des opportunités égales pour tous", a-t-elle souligné.
La Maison des Dys à Lyon : Le documentaire "Leurs mots à dire" inspire des actions concrètes vers l'inclusion des personnes atteintes de troubles Dys
Parmi les actions concrètes proposées, figure la création de la première Maison des Dys à Lyon, en France. Cette initiative vise à fournir un soutien global, des ressources et un espace sécurisé aux personnes atteintes de troubles Dys. Véronique Montangerand, représentante du recteur de l'académie de Lyon, a partagé son enthousiasme pour ce projet, affirmant : "La Maison des Dys sera un symbole d'espoir, offrant une assistance sur mesure et favorisant un sentiment d'appartenance pour ceux qui sont touchés par les troubles Dys." Le débat en panel s'est conclu sur un appel fort à honorer les promesses faites et à transformer les paroles en actions. Guillaume Bonneville, directeur territorial du FIPHFP Auvergne-Rhône-Alpes, a souligné l'importance de la collaboration et a exhorté toutes les parties prenantes à unir leurs forces pour créer une société inclusive. "En travaillant ensemble, nous pouvons créer une société où le potentiel des personnes atteintes de troubles Dys est reconnu et célébré", a-t-il affirmé.
À la fin de l'événement, le message résonnait clairement : personne ne devrait être DISqualifié en raison de ses différences. En effet, le documentaire et les discussions qui ont suivi ont été un véritable catalyseur du changement, inspirant individus, décideurs et communautés à prendre des mesures concrètes. Il a mis en évidence le besoin urgent de services de soutien accrus, de formations spécialisées pour les éducateurs et de politiques inclusives répondant aux besoins spécifiques des personnes atteintes de troubles Dys, les obstacles auxquels sont confrontées les personnes atteintes de troubles Dys, mais aussi, cet évènement à permis de souligner leur résilience et leur potentiel inexploité, et rappelé l'importance de prendre des mesures concrètes pour favoriser une inclusion réelle de ces individus au sein de la société. La projection du documentaire "Leurs mots à dire" a non seulement ému les spectateurs, mais a également suscité une réflexion profonde sur les actions nécessaires pour garantir une société plus inclusive et équitable pour tous.
À la fin de l'événement, le message résonnait clairement : personne ne devrait être DISqualifié en raison de ses différences. En effet, le documentaire et les discussions qui ont suivi ont été un véritable catalyseur du changement, inspirant individus, décideurs et communautés à prendre des mesures concrètes. Il a mis en évidence le besoin urgent de services de soutien accrus, de formations spécialisées pour les éducateurs et de politiques inclusives répondant aux besoins spécifiques des personnes atteintes de troubles Dys, les obstacles auxquels sont confrontées les personnes atteintes de troubles Dys, mais aussi, cet évènement à permis de souligner leur résilience et leur potentiel inexploité, et rappelé l'importance de prendre des mesures concrètes pour favoriser une inclusion réelle de ces individus au sein de la société. La projection du documentaire "Leurs mots à dire" a non seulement ému les spectateurs, mais a également suscité une réflexion profonde sur les actions nécessaires pour garantir une société plus inclusive et équitable pour tous.