L'homme et la femme peuvent se déchirer et se détester comme on peut le constater au moment d'un divorce, mais ils peuvent aussi s'aimer et se chérir comme ils le font lorsqu'ils décident de vivre ensemble et de partager tout ce qu'ils possèdent.
Les organes génitaux de l'homme sont visibles et ceux de la femme sont cachés, intériorisés. Cette disposition anatomique engendre un comportement sexuel bien défini : le phallus pénètre le vagin. On est constamment dans cette dynamique opposée, mais complémentaire. C'est une différence indiscutable et nécessaire. Cette dissemblance s'en ressent jusque dans la façon de penser. Même lorsque les femmes cherchent à faire le même travail que les hommes, elles continuent d'être marginales. Même dans l'autorité, elles apportent une attitude singulière. C'est ainsi !
L'homme et la femme doivent rester complémentaires. Il en est de même avec la sexualité. L'homme est impulsif, passionné, dévoré par les sens. Il désire le corps de sa partenaire, ce désir fait monter en lui l'envie de la posséder et donc de la pénétrer. La femme est réceptive. Elle éprouve le besoin de se sentir protégée. Elle désire recevoir, contenir et absorber l'autre. L'acte sexuel permet tout cela. Les deux partenaires se complètent et ne font plus qu'un.
Il est évident qu'on remarque immédiatement la différence qu'il y a entre l'homme et la femme et c'est exactement cette dissemblance qui les oblige à se regarder, à s'observer et à se désirer. Platon ne dit-il pas que nous étions androgynes avant que les dieux nous séparent ? La genèse ne nous fait-elle pas savoir que Dieu extirpa la côte d'Adam pour créer Ève ?
Le fait que nous soyons si étrangement identiques en certains aspects, comme de posséder des mains, des bras, des jambes, un torse, des yeux, un nez, une bouche ne suffit pas à masquer notre différence. En outre, nous sentons instinctivement que nous avons quelque chose qui nous manque et que l'autre peut combler.
Les organes génitaux de l'homme sont visibles et ceux de la femme sont cachés, intériorisés. Cette disposition anatomique engendre un comportement sexuel bien défini : le phallus pénètre le vagin. On est constamment dans cette dynamique opposée, mais complémentaire. C'est une différence indiscutable et nécessaire. Cette dissemblance s'en ressent jusque dans la façon de penser. Même lorsque les femmes cherchent à faire le même travail que les hommes, elles continuent d'être marginales. Même dans l'autorité, elles apportent une attitude singulière. C'est ainsi !
L'homme et la femme doivent rester complémentaires. Il en est de même avec la sexualité. L'homme est impulsif, passionné, dévoré par les sens. Il désire le corps de sa partenaire, ce désir fait monter en lui l'envie de la posséder et donc de la pénétrer. La femme est réceptive. Elle éprouve le besoin de se sentir protégée. Elle désire recevoir, contenir et absorber l'autre. L'acte sexuel permet tout cela. Les deux partenaires se complètent et ne font plus qu'un.
Il est évident qu'on remarque immédiatement la différence qu'il y a entre l'homme et la femme et c'est exactement cette dissemblance qui les oblige à se regarder, à s'observer et à se désirer. Platon ne dit-il pas que nous étions androgynes avant que les dieux nous séparent ? La genèse ne nous fait-elle pas savoir que Dieu extirpa la côte d'Adam pour créer Ève ?
Le fait que nous soyons si étrangement identiques en certains aspects, comme de posséder des mains, des bras, des jambes, un torse, des yeux, un nez, une bouche ne suffit pas à masquer notre différence. En outre, nous sentons instinctivement que nous avons quelque chose qui nous manque et que l'autre peut combler.
Filles_et_ garçons_dualité.mp3 (865.02 Ko)