Je suis née dans le passé, je vis le présent
Et serais le futur, j'obéirais au Temps.
Je suis née de la poussière de l'Univers
Et j'ai vécu les aventures venues d'hier.
L'avenir d'aujourd'hui deviendra lendemain
Cela est entre les mains du destin.
De César à Staline,
J'ai vu les grands chefs et les dictateurs,
Voltaire et Lamartine
J'ai vu les poètes et tous les penseurs.
J'ai vécu toutes les guerres et les conflits
De la race qui se fait appeler Homme
Bien que j'ai vu toute la beauté de la vie
Par ceux qui ont un jour mangé la Pomme
La beauté de la femme
Qui révèle cet amour latent
Et ravive la flamme
De son éclat d'or et d'argent.
Essence, fille et soeur de cette Nature
Elle en est la création la plus pure.
L'homme s'est pris pour l'être parfait
Pour rabaisser ce qu'il craignait.
La peur de l'autre moitié
Et de sa blanche pureté
Qui dés sa naissance savait écouter
Le Vent et le souffle des alizés.
L'Homme, par sa force et son courage
A bâti à travers les Ages
La Civilisation du monde entier.
Par son fer forgée, son sang a coulé.
Cette beauté qu'il a aujourd'hui effacée
Cette pureté qui est à jamais souillée
Qui sombrent en ce moment dans la terreur
Et qui aujourd'hui attendent leur heure.
Moi, la Terre j'ai supporté et enduré
L'autorité des générations passées
Mes années sont maintenant comptées
La mort viendra bientôt m'enlever
Pensées terriennes, extrait du recueil "Sentiments en vie".
Et serais le futur, j'obéirais au Temps.
Je suis née de la poussière de l'Univers
Et j'ai vécu les aventures venues d'hier.
L'avenir d'aujourd'hui deviendra lendemain
Cela est entre les mains du destin.
De César à Staline,
J'ai vu les grands chefs et les dictateurs,
Voltaire et Lamartine
J'ai vu les poètes et tous les penseurs.
J'ai vécu toutes les guerres et les conflits
De la race qui se fait appeler Homme
Bien que j'ai vu toute la beauté de la vie
Par ceux qui ont un jour mangé la Pomme
La beauté de la femme
Qui révèle cet amour latent
Et ravive la flamme
De son éclat d'or et d'argent.
Essence, fille et soeur de cette Nature
Elle en est la création la plus pure.
L'homme s'est pris pour l'être parfait
Pour rabaisser ce qu'il craignait.
La peur de l'autre moitié
Et de sa blanche pureté
Qui dés sa naissance savait écouter
Le Vent et le souffle des alizés.
L'Homme, par sa force et son courage
A bâti à travers les Ages
La Civilisation du monde entier.
Par son fer forgée, son sang a coulé.
Cette beauté qu'il a aujourd'hui effacée
Cette pureté qui est à jamais souillée
Qui sombrent en ce moment dans la terreur
Et qui aujourd'hui attendent leur heure.
Moi, la Terre j'ai supporté et enduré
L'autorité des générations passées
Mes années sont maintenant comptées
La mort viendra bientôt m'enlever
Pensées terriennes, extrait du recueil "Sentiments en vie".