La situation relative aux droits des peuples autochtones est tout particulièrement préoccupante.
Amnesty International déplore qu'il n'existe aucun véritable mécanisme de traitement des revendications foncières des peuples autochtones et que les décisions rendues par la Cour inter-américaine des droits de l'homme ordonnant la restitution de leurs terres ancestrales à trois communautés autochtones n'aient pas été pleinement appliquées. Privées d'accès à leurs terres, ces communautés voient leur survie compromise.
"Nous avons pris note des avancées obtenues récemment dans le cas de la communauté yakye axa afin qu'elle puisse retourner sur ses terres. Les familles sawhoyamaxas et xákmoks káseks touchées continuent cependant à vivre dans des conditions déplorables et à subir des restrictions des droits fondamentaux en raison du non-respect par l'État des exigences de la Cour", a déclaré Maria José Eva, chercheuse à Amnesty International.
Amnesty International déplore qu'il n'existe aucun véritable mécanisme de traitement des revendications foncières des peuples autochtones et que les décisions rendues par la Cour inter-américaine des droits de l'homme ordonnant la restitution de leurs terres ancestrales à trois communautés autochtones n'aient pas été pleinement appliquées. Privées d'accès à leurs terres, ces communautés voient leur survie compromise.
"Nous avons pris note des avancées obtenues récemment dans le cas de la communauté yakye axa afin qu'elle puisse retourner sur ses terres. Les familles sawhoyamaxas et xákmoks káseks touchées continuent cependant à vivre dans des conditions déplorables et à subir des restrictions des droits fondamentaux en raison du non-respect par l'État des exigences de la Cour", a déclaré Maria José Eva, chercheuse à Amnesty International.
Paraguay.mp3 (473.19 Ko)