Pakistan exécutions (131.15 Ko)
Le 25 novembre 2015, le pays a prévu d'exécuter Abdul Basit, un homme paraplégique qui a développé une méningite tuberculeuse depuis qu’il a été condamné à mort. Son exécution a été reportée à plusieurs reprises, car la prison ne dispose d'aucun règlement sur la manière de pendre un prisonnier qui ne peut pas se tenir debout sur l'échafaud.
Amnesty International a fait savoir que les exécutions ternissent le bilan du Pakistan en termes de droits humains, et viennent s'ajouter aux violations répétées du droit à un procès équitable et d'autres garanties devant être respectées dans toutes les affaires dans lesquelles l'accusé encourt la peine capitale.
"L'enthousiasme du Pakistan pour les exécutions est un affront aux droits humains et à la tendance mondiale vers l’abolition de la peine de mort", a déclaré David Griffiths, directeur des recherches pour l'Asie du Sud à Amnesty International.
Amnesty International a fait savoir que les exécutions ternissent le bilan du Pakistan en termes de droits humains, et viennent s'ajouter aux violations répétées du droit à un procès équitable et d'autres garanties devant être respectées dans toutes les affaires dans lesquelles l'accusé encourt la peine capitale.
"L'enthousiasme du Pakistan pour les exécutions est un affront aux droits humains et à la tendance mondiale vers l’abolition de la peine de mort", a déclaré David Griffiths, directeur des recherches pour l'Asie du Sud à Amnesty International.