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Amnesty International déplore que, malgré des allégations crédibles selon lesquelles elle aurait été soumise à des actes de torture et des mauvais traitements, aucune investigation n’a été menée à ce jour sur ces allégations et aucun responsable présumé n’a été identifié ni traduit en justice. Dilorom Abdoukadirova purge actuellement une peine de 18 ans de prison pour des charges fallacieuses, à savoir tentative de renversement de l’ordre constitutionnel et violation du règlement de la prison.
Le 21 octobre, les sympathisants d’Amnesty International mèneront dans 11 pays des actions pour collecter des photographies prises avec le slogan "Stop aux secrets et aux mensonges. Stop à la torture en Ouzbékistan", devant les ambassades d’Ouzbékistan dans leur pays ou devant des sites marquants afin de braquer les projecteurs sur le cas de Dilorom et la pratique courante de la torture en Ouzbékistan.
"La torture en Ouzbékistan est une pratique généralisée et courante. Le gouvernement continue de mentir à ce sujet, plutôt que d’agir pour y mettre un terme. Cela doit cesser. La communauté internationale et l’Union européenne en particulier doivent prendre en compte la pratique généralisée de la torture en Ouzbékistan dans le cadre de toutes leurs relations bilatérales", a déclaré Maisy Weicherding, chercheuse sur l’Ouzbékistan à Amnesty International.
Amnesty International continue de recevoir des informations selon lesquelles des personnes sont torturées et maltraitées par les forces de sécurité lors de leur arrestation et par les gardiens lors de leur détention. Les pouvoirs publics n’enquêtent généralement pas sur les faits de ce genre.
L’Ouzbékistan semble déterminé à échapper à toute surveillance internationale. Ces dernières années, aucune organisation internationale indépendante, y compris Amnesty International, n’a pu se rendre librement dans le pays pour effectuer une surveillance indépendante des droits humains.
Le 21 octobre, les sympathisants d’Amnesty International mèneront dans 11 pays des actions pour collecter des photographies prises avec le slogan "Stop aux secrets et aux mensonges. Stop à la torture en Ouzbékistan", devant les ambassades d’Ouzbékistan dans leur pays ou devant des sites marquants afin de braquer les projecteurs sur le cas de Dilorom et la pratique courante de la torture en Ouzbékistan.
"La torture en Ouzbékistan est une pratique généralisée et courante. Le gouvernement continue de mentir à ce sujet, plutôt que d’agir pour y mettre un terme. Cela doit cesser. La communauté internationale et l’Union européenne en particulier doivent prendre en compte la pratique généralisée de la torture en Ouzbékistan dans le cadre de toutes leurs relations bilatérales", a déclaré Maisy Weicherding, chercheuse sur l’Ouzbékistan à Amnesty International.
Amnesty International continue de recevoir des informations selon lesquelles des personnes sont torturées et maltraitées par les forces de sécurité lors de leur arrestation et par les gardiens lors de leur détention. Les pouvoirs publics n’enquêtent généralement pas sur les faits de ce genre.
L’Ouzbékistan semble déterminé à échapper à toute surveillance internationale. Ces dernières années, aucune organisation internationale indépendante, y compris Amnesty International, n’a pu se rendre librement dans le pays pour effectuer une surveillance indépendante des droits humains.