Le clip mise sur un voyage dans le temps. C’est une succession d’images d’archives créées de toutes pièces à travers lesquelles des protagonistes annoncent des prédictions qui paraissaient “irréalistes” à leur époque mais qui se sont réalisées au cours des dernières décennies. Sauf une: "un jour, il n’y aura plus de sida". Mais ce rêve peut devenir réalité.
Avec cette campagne, ONE innove et parie sur un sentiment volontairement positif. Le clip s’appuie en effet sur l’idée qu’“aucun rêve n’est trop grand”.
Les prédictions sont faites par des personnes lambda afin de préserver la liberté d’identification des spectateurs. La narration suit une chronologie pour insister sur l’évolution et apporter une crédibilité à une vision jusqu’à présent considérée comme irréalisable.
En 1900, qui eut cru que l’on pourrait un jour marcher sur la Lune? Et pourtant…
"Le début de la fin du sida" est aussi un rêve qui peut devenir réalité. Depuis la découverte du VIH, des progrès fulgurants ont été accomplis. Aujourd’hui, la fin du sida n'est plus une utopie mais peut se réaliser, à condition de s’en donner les moyens. La mobilisation du plus grand nombre est aujourd’hui nécessaire en vue d’encourager les gouvernements à redoubler d’efforts, à agir de concert et à prendre des engagements concrets.
Cette campagne conçue par BDDP Unlimited et produite par Standard Films, a été réalisée par Ramon Ayala, réalisateur d’origine espagnole et auteur de courts métrages. Son travail d’arts visuels a notamment été exposé au Centre de Culture Contemporaine de Barcelone et à la Fondation Caixa Catalunya, ainsi qu’au musée d’art moderne de Moscou.
L’actrice française Mathilda May a également accepté de prêter sa voix au clip.
Le spot existe en deux versions de 30 et 60 secondes. Il sera diffusé à la télévision et au cinéma avec le soutien des médias.
A l’appui de cette campagne, ONE lance également une nouvelle pétition sur ONE.org. Le grand public est ainsi invité à témoigner son soutien en faveur du message principal du clip en la signant.
Parallèlement à cette campagne, ONE publiera le 28 novembre prochain un rapport* de suivi des engagements internationaux en matière de lutte contre le sida. Intitulé "Le début de la fin? Suivi des engagements mondiaux dans la lutte contre le sida", le rapport tente de cartographier la situation politique, le contexte financier et les politiques mises en œuvre autour de la riposte mondiale et des efforts pour atteindre l’objectif de voir enfin le "début de la fin du sida". Les actions des donateurs traditionnels sont soulignées en détail. Le rapport inclut aussi une nouvelle analyse portant sur le leadership africain relatif au sida et des études de cas qui mettent en évidence les contributions uniques des économies émergentes, du secteur privé et des organisations non gouvernementales pour participer à la réalisation du début de la fin du sida.
Avec cette campagne, ONE innove et parie sur un sentiment volontairement positif. Le clip s’appuie en effet sur l’idée qu’“aucun rêve n’est trop grand”.
Les prédictions sont faites par des personnes lambda afin de préserver la liberté d’identification des spectateurs. La narration suit une chronologie pour insister sur l’évolution et apporter une crédibilité à une vision jusqu’à présent considérée comme irréalisable.
En 1900, qui eut cru que l’on pourrait un jour marcher sur la Lune? Et pourtant…
"Le début de la fin du sida" est aussi un rêve qui peut devenir réalité. Depuis la découverte du VIH, des progrès fulgurants ont été accomplis. Aujourd’hui, la fin du sida n'est plus une utopie mais peut se réaliser, à condition de s’en donner les moyens. La mobilisation du plus grand nombre est aujourd’hui nécessaire en vue d’encourager les gouvernements à redoubler d’efforts, à agir de concert et à prendre des engagements concrets.
Cette campagne conçue par BDDP Unlimited et produite par Standard Films, a été réalisée par Ramon Ayala, réalisateur d’origine espagnole et auteur de courts métrages. Son travail d’arts visuels a notamment été exposé au Centre de Culture Contemporaine de Barcelone et à la Fondation Caixa Catalunya, ainsi qu’au musée d’art moderne de Moscou.
L’actrice française Mathilda May a également accepté de prêter sa voix au clip.
Le spot existe en deux versions de 30 et 60 secondes. Il sera diffusé à la télévision et au cinéma avec le soutien des médias.
A l’appui de cette campagne, ONE lance également une nouvelle pétition sur ONE.org. Le grand public est ainsi invité à témoigner son soutien en faveur du message principal du clip en la signant.
Parallèlement à cette campagne, ONE publiera le 28 novembre prochain un rapport* de suivi des engagements internationaux en matière de lutte contre le sida. Intitulé "Le début de la fin? Suivi des engagements mondiaux dans la lutte contre le sida", le rapport tente de cartographier la situation politique, le contexte financier et les politiques mises en œuvre autour de la riposte mondiale et des efforts pour atteindre l’objectif de voir enfin le "début de la fin du sida". Les actions des donateurs traditionnels sont soulignées en détail. Le rapport inclut aussi une nouvelle analyse portant sur le leadership africain relatif au sida et des études de cas qui mettent en évidence les contributions uniques des économies émergentes, du secteur privé et des organisations non gouvernementales pour participer à la réalisation du début de la fin du sida.