Quinze personnes ont été arrêtées par les forces de sécurité omanaises le 14 mai au cours d'une manifestation organisée à Mascate, la capitale d'Oman, pour réclamer la libération d'autres personnes arrêtées deux jours plus tôt lors de manifestations en faveur de réformes.
L'avocate Basma al Kiyumi a été libérée le 16 mai, et environ huit autres militants, dont Muhammad al Habssi et Ibrahim Said al Hajri, ont été remis en liberté le 17 mai. On ignore où se trouvent les six autres détenus – parmi lesquels figure Nabhan al Hanashi – et si d'éventuelles charges ont été retenues contre eux.
"Les autorités d'Oman doivent immédiatement fournir des informations sur le lieu où se trouvent tous les manifestants actuellement détenus et soit les inculper d'une infraction dûment reconnue par la loi, soit les libérer", a déclaré Malcolm Smart, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.
En vidéo, point sur la situation des droits de l'homme dans le monde, par Amnesty International (en anglais).
L'avocate Basma al Kiyumi a été libérée le 16 mai, et environ huit autres militants, dont Muhammad al Habssi et Ibrahim Said al Hajri, ont été remis en liberté le 17 mai. On ignore où se trouvent les six autres détenus – parmi lesquels figure Nabhan al Hanashi – et si d'éventuelles charges ont été retenues contre eux.
"Les autorités d'Oman doivent immédiatement fournir des informations sur le lieu où se trouvent tous les manifestants actuellement détenus et soit les inculper d'une infraction dûment reconnue par la loi, soit les libérer", a déclaré Malcolm Smart, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.
En vidéo, point sur la situation des droits de l'homme dans le monde, par Amnesty International (en anglais).