La technologie est appelée CTC (Circulating Tumor Cell), sa commercialisation est déjà autorisée par l'agence américaine de réglementation des médicaments et des produits alimentaires (FDA), a déjà autorisé la commercialisation de cette technologie dite CTC ("Circulating Tumor Cell") pour détecter la présence d'un cancer de façon plus précoce que par les méthodes actuelles. Le test Veridex a la forme d'une puce informatique, dispose de marqueurs génétiques et de protéines et est capable de détecter la présence des cellules cancéreuses se trouvant dans le sang*. Ainsi, les techniques utilisées actuellement pour le dépistage - mammographies, coloscopies, biopsies... - pourront être remplacées dans l'avenir.
Robert McCormack, responsable de l'innovation technologique et de la firme spécialisée dans les tests in vitro, a expliqué: "Cette nouvelle technologie a le potentiel d'offrir un test facile à effectuer pour détecter et dénombrer les cellules cancéreuses et aussi pour en déterminer les caractéristiques biologiques. (...) Récolter les informations contenues dans ces cellules dans un contexte clinique in vitro pourra aider à sélectionner les traitements et à voir comment les malades y répondent."
Le Dr Nicholas Dracopoli, directeur général de la recherche sur les marqueurs biologiques chez Johnson and Johnson, a précisé qu'il y a "Un besoin urgent et grandissant de technologies de pointe et non invasives pour aider à sélectionner un traitement et à surveiller la réponse tout au long de l'évolution de la maladie".
* Les recherches ont prouvé que la plupart des malades atteints de cancer du sein, de la prostate et du colon avaient des cellules cancéreuses qui circulaient dans leur sang.
Robert McCormack, responsable de l'innovation technologique et de la firme spécialisée dans les tests in vitro, a expliqué: "Cette nouvelle technologie a le potentiel d'offrir un test facile à effectuer pour détecter et dénombrer les cellules cancéreuses et aussi pour en déterminer les caractéristiques biologiques. (...) Récolter les informations contenues dans ces cellules dans un contexte clinique in vitro pourra aider à sélectionner les traitements et à voir comment les malades y répondent."
Le Dr Nicholas Dracopoli, directeur général de la recherche sur les marqueurs biologiques chez Johnson and Johnson, a précisé qu'il y a "Un besoin urgent et grandissant de technologies de pointe et non invasives pour aider à sélectionner un traitement et à surveiller la réponse tout au long de l'évolution de la maladie".
* Les recherches ont prouvé que la plupart des malades atteints de cancer du sein, de la prostate et du colon avaient des cellules cancéreuses qui circulaient dans leur sang.