Photo (c) DR
Un nuage arrive et tout se dérègle, cela ne vous rappelle rien ? Non il ne s’agissait pas d’une branche du nuage de ce volcan islandais qui est venue recouvrir le littoral azuréen en ce lundi de Pentecôte. Il n’était pas noir mais blanc, ne contenait aucune poussière nocive et il n’est resté à peine trois heures. Pourtant il est apparu dans le ciel niçois en fin de matinée, provoquant étonnements chez les vacanciers et touristes mais également des retards pour les avions. Ne pouvant atterrir ils ont été détournés sur d’autres aéroports en attendant la dissipation du nuage. Un tel phénomène nuageux n’arrive qu’une fois par an selon Météo France, pas forcément à cette période et habituellement il passe inaperçu. Vu des collines du nord de Nice d’où ont été prises les photos, on a d’abord cru à un incendie mais pas de sirène pour confirmer cette première hypothèse. La célèbre Baie des Anges avait soudainement disparu tout comme la fameuse colline du Château, plus de mer à l’horizon, nous n’étions plus à Nice au bord de la Méditerranée.
En fait il s’agissait d’une conjonction de facteurs climatiques entre une condensation d’air humide, une différence importante de température mer-littoral et une brise de mer poussant le nuage vers l’intérieur des terres. Mais celui-ci était bloqué par les collines. Rien de bien alarmant mais en cette fin de long week-end de Pentecôte, ce nuage a fait couler beaucoup d’encre et de salive…
En fait il s’agissait d’une conjonction de facteurs climatiques entre une condensation d’air humide, une différence importante de température mer-littoral et une brise de mer poussant le nuage vers l’intérieur des terres. Mais celui-ci était bloqué par les collines. Rien de bien alarmant mais en cette fin de long week-end de Pentecôte, ce nuage a fait couler beaucoup d’encre et de salive…