Malgré la décision prise par l’Assemblée, la représentante de Cuba a estimé, néanmoins, que le Document final n’avait pas pris en considération les « peuples victimes de la crise ». Elle a tenu à rappeler que la crise financière et économique mondiale avait « pris naissance dans les pays développés », et qu’elle constituait la « preuve de l’échec de l’économie néolibérale », tout en montrant la « faiblesse des institutions financières internationales ».
De même, a estimé la représentante de Cuba, « les causes économiques de cette crise n’ont pas été assez analysées », tandis que le texte entériné « n’aborde pas la réforme des institutions internationales ». Son homologue du Venezuela a ainsi souligné la nécessité de réformer le système financier international.
Par ailleurs, l’Assemblée a décidé de convoquer en 2010, au début de sa soixante-cinquième session, une « réunion plénière de haut niveau de l’Assemblée générale », à des dates qu’il reste à définir, « avec la participation des chefs d’État et de gouvernement ». Aux termes de ce texte, l’Assemblée encourage tous les États Membres à s’y faire représenter à ce niveau.
Elle a également décidé de tenir et d’achever, avant la fin 2009, des consultations sur « la portée, les modalités, la forme et l’organisation de cette réunion ». Elle prie le Secrétaire général de lui présenter un rapport à ce sujet au début de sa soixante-quatrième session.
Le représentant du Sénégal, qui, avec sa collègue de la Finlande, a présidé les négociations officieuses ayant abouti à la rédaction de ce projet de résolution, a affirmé que le texte en français ne reflétait pas l’esprit de ces négociations, et qu’il en était de même des versions en langues anglaise et espagnole.
La réunion tenue par l’Assemblée générale le 9 juillet entrait dans le cadre de l’application et du suivi intégrés et coordonnés des textes issus des grandes conférences et réunions au sommet organisées par les Nations Unies dans les domaines économique et social et dans les domaines connexes. Elle relevait notamment du suivi des textes issus du Sommet du Millénaire.
De même, a estimé la représentante de Cuba, « les causes économiques de cette crise n’ont pas été assez analysées », tandis que le texte entériné « n’aborde pas la réforme des institutions internationales ». Son homologue du Venezuela a ainsi souligné la nécessité de réformer le système financier international.
Par ailleurs, l’Assemblée a décidé de convoquer en 2010, au début de sa soixante-cinquième session, une « réunion plénière de haut niveau de l’Assemblée générale », à des dates qu’il reste à définir, « avec la participation des chefs d’État et de gouvernement ». Aux termes de ce texte, l’Assemblée encourage tous les États Membres à s’y faire représenter à ce niveau.
Elle a également décidé de tenir et d’achever, avant la fin 2009, des consultations sur « la portée, les modalités, la forme et l’organisation de cette réunion ». Elle prie le Secrétaire général de lui présenter un rapport à ce sujet au début de sa soixante-quatrième session.
Le représentant du Sénégal, qui, avec sa collègue de la Finlande, a présidé les négociations officieuses ayant abouti à la rédaction de ce projet de résolution, a affirmé que le texte en français ne reflétait pas l’esprit de ces négociations, et qu’il en était de même des versions en langues anglaise et espagnole.
La réunion tenue par l’Assemblée générale le 9 juillet entrait dans le cadre de l’application et du suivi intégrés et coordonnés des textes issus des grandes conférences et réunions au sommet organisées par les Nations Unies dans les domaines économique et social et dans les domaines connexes. Elle relevait notamment du suivi des textes issus du Sommet du Millénaire.