Résultat du tirage au sort
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Les Français ont-ils été bénis cette fois? Le tirage au sort qui a tenu en haleine tous les passionnés de football a rendu son verdict avec quelques surprises agréables et un désenchantement pour certaines équipes.
La France qui est dans le groupe E s’en sort avec un tirage clément. L’Équateur, la Suisse et le Honduras sont ses futurs adversaires. Si d’emblée ses pays ne sont pas connus pour être des nations de football à l’exemple du Portugal ou du Brésil, un trop plein de confiance est à proscrire. Attention le mondial 2002 en Corée du Sud et au Japon est là pour rappeler aux mémoires des Français que l’air du jeu est le seul lieu pour montrer sa suprématie.
La coupe du monde amène certains pays à se transcender face à des adversaires supposés redoutables. Aborder tous les matchs avec la même rage de vaincre est à souhaiter et à espérer pour les poulains de Didier Deschamps.
Cette 20e édition de football au Brésil sera incontestablement la plateforme d’expression des grandes nations de foot. La quasi-totalité des pronostics place en sérieux prétendants l’Espagne, la tenante du titre, l’Argentine de Lionel Messi plusieurs fois "ballon d’or" et enfin le Brésil de Pelé, pays organisateur. A côte de ces têtes de gondole vient l’Allemagne, l’Angleterre, l’Italie, le Portugal. Lionel Messi dans le quotidien Espagnol Mundo Deportivo pense que la France tout comme son pays ont largement leur chance pour gagner cette coupe du monde-là.
La France qui est dans le groupe E s’en sort avec un tirage clément. L’Équateur, la Suisse et le Honduras sont ses futurs adversaires. Si d’emblée ses pays ne sont pas connus pour être des nations de football à l’exemple du Portugal ou du Brésil, un trop plein de confiance est à proscrire. Attention le mondial 2002 en Corée du Sud et au Japon est là pour rappeler aux mémoires des Français que l’air du jeu est le seul lieu pour montrer sa suprématie.
La coupe du monde amène certains pays à se transcender face à des adversaires supposés redoutables. Aborder tous les matchs avec la même rage de vaincre est à souhaiter et à espérer pour les poulains de Didier Deschamps.
Cette 20e édition de football au Brésil sera incontestablement la plateforme d’expression des grandes nations de foot. La quasi-totalité des pronostics place en sérieux prétendants l’Espagne, la tenante du titre, l’Argentine de Lionel Messi plusieurs fois "ballon d’or" et enfin le Brésil de Pelé, pays organisateur. A côte de ces têtes de gondole vient l’Allemagne, l’Angleterre, l’Italie, le Portugal. Lionel Messi dans le quotidien Espagnol Mundo Deportivo pense que la France tout comme son pays ont largement leur chance pour gagner cette coupe du monde-là.
Mais face à cette confiance accordée aux Bleus, des voies dissidentes trouvent que le jeu est biaisé. Des théories de complots sont alimentées tant par la presse internationale qui reste sceptique que par certains pays comme l’Italie, l’Espagne et l’Angleterre. Michel Platini et Sepp Blatter sont accusés de favoriser l’équipe de France et par ricochet la sélection suisse. Cette thèse repose tant sur l’incompréhension de voir la FIFA changer le chapeau de la France qui était initialement dans le chapeau 2. Un chapeau embarrassant pour la mettre dans une poule plus qu’avantageuse au vue de ses futurs adversaires le Honduras et l’Équateur.
Le mondial 2014 revêt un double enjeu pour notre équipe de France. Montrer à la terre entière qu’elle a sa place au Brésil après une qualification très difficile et faire taire les insistantes rumeurs de complot. La messe au Brésil sera certes belle car l’environnement s’y prête, mais elle le sera davantage pour tous les Français si les Bleus vont le plus loin possible dans cette compétition.
Le mondial 2014 revêt un double enjeu pour notre équipe de France. Montrer à la terre entière qu’elle a sa place au Brésil après une qualification très difficile et faire taire les insistantes rumeurs de complot. La messe au Brésil sera certes belle car l’environnement s’y prête, mais elle le sera davantage pour tous les Français si les Bleus vont le plus loin possible dans cette compétition.
Face aux nouveaux défis, le cheval s’adapte 
