"Les responsables du meurtre du journaliste Jaime González Domínguez, tué à Ojinaga, au Mexique, le 3 mars 2013, doivent être traduits en justice", a déclaré Amnesty International.
Jaime González Domínguez, journaliste et rédacteur en chef de l’organe de presse électronique local Ojinaga Noticias, a été abattu de 18 balles dans le corps par un groupe d’hommes qui ont ensuite volé son appareil photo.
Les premiers mois de la présidence d’Enrique Peña Nieto n'affiche pas de réels progrès en matière de droits humains
Alors qu’Enrique Peña Nieto occupe depuis 100 jours la fonction de président, les quelques mesures prises par son gouvernement en matière de droits humains ne correspondent absolument pas à la gravité de la situation que connaît le Mexique.
"Des signes inquiétants indiquent que ce gouvernement n’accorde pas une priorité suffisante à la protection des droits fondamentaux. Il doit rompre clairement avec les promesses vides de sens de son prédécesseur et mettre fin à l’impunité pour les atteintes aux droits humains", a estimé Javier Zúñiga, conseiller spécial auprès d’Amnesty International.
En décembre 2012, le secrétaire général d’Amnesty International a écrit au nouveau président pour lui demander de prendre des mesures immédiates sur toute une série de problèmes graves.
Jaime González Domínguez, journaliste et rédacteur en chef de l’organe de presse électronique local Ojinaga Noticias, a été abattu de 18 balles dans le corps par un groupe d’hommes qui ont ensuite volé son appareil photo.
Les premiers mois de la présidence d’Enrique Peña Nieto n'affiche pas de réels progrès en matière de droits humains
Alors qu’Enrique Peña Nieto occupe depuis 100 jours la fonction de président, les quelques mesures prises par son gouvernement en matière de droits humains ne correspondent absolument pas à la gravité de la situation que connaît le Mexique.
"Des signes inquiétants indiquent que ce gouvernement n’accorde pas une priorité suffisante à la protection des droits fondamentaux. Il doit rompre clairement avec les promesses vides de sens de son prédécesseur et mettre fin à l’impunité pour les atteintes aux droits humains", a estimé Javier Zúñiga, conseiller spécial auprès d’Amnesty International.
En décembre 2012, le secrétaire général d’Amnesty International a écrit au nouveau président pour lui demander de prendre des mesures immédiates sur toute une série de problèmes graves.
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