La production de la banane aux Antilles est apparue vers 1928-1930. C'est l’exemple type d’une diversification agricole réussie. La banane est le premier produit agricole d’exportation de la Martinique. Elle occupe près de la moitié des actifs agricoles. Selon la FAO, la Martinique a produit en 2008 environ 300.000 tonnes de bananes. Cela représente 0,33 % de la production mondiale de bananes, tout en n'occupant que 20,3 % de la surface agricole utile.
Dans les bananeraies vivent 273 espèces de plantes différentes et 72 espèces d’oiseaux. Pour préserver ce parc, les producteurs de la filière banane de Guadeloupe & Martinique on mit en place des pratiques durables participant de manière intelligente au retour et à la préservation de la biodiversité dans cet environnement.
Parmi ces pratiques :
- La réduction de 72 % de l’emploi des produits phytosanitaires (pesticide). Pour lutter contre les insectes ravageurs (insectes nuisibles pour les cultures agricoles, pour les arbres et la végétation en général) et plus particulièrement contre le charançon, un coléoptère dont la larve se développe à l’intérieur du bananier. Il existe des insectes comme les coccinelles, larves prédatrices ou les araignées. C’est une lutte biologique.
- La généralisation des jachères permettant la mise au repos temporaire d’une terre entre deux cultures,
- La rotation des cultures avec pour objectif la reconstitution de la richesse du sol et donc de sa faune et de sa flore,
- La sélection de plantes dites de couverture sous les bananiers, protégeant le sol du soleil, de l'érosion et également des adventices (les mauvaises herbes)
- La mise en place de corridors biologiques : haies et bandes enherbées en bordure des parcelles permettant la circulation des espèces.
Le bananier est un arbre qui a besoin de beaucoup d’eau et de chaleur. Avec des conditions climatiques très particulières, la Martinique et la Guadeloupe sont des endroits privilégiés qui méritent d’être préserver.
Dans les bananeraies vivent 273 espèces de plantes différentes et 72 espèces d’oiseaux. Pour préserver ce parc, les producteurs de la filière banane de Guadeloupe & Martinique on mit en place des pratiques durables participant de manière intelligente au retour et à la préservation de la biodiversité dans cet environnement.
Parmi ces pratiques :
- La réduction de 72 % de l’emploi des produits phytosanitaires (pesticide). Pour lutter contre les insectes ravageurs (insectes nuisibles pour les cultures agricoles, pour les arbres et la végétation en général) et plus particulièrement contre le charançon, un coléoptère dont la larve se développe à l’intérieur du bananier. Il existe des insectes comme les coccinelles, larves prédatrices ou les araignées. C’est une lutte biologique.
- La généralisation des jachères permettant la mise au repos temporaire d’une terre entre deux cultures,
- La rotation des cultures avec pour objectif la reconstitution de la richesse du sol et donc de sa faune et de sa flore,
- La sélection de plantes dites de couverture sous les bananiers, protégeant le sol du soleil, de l'érosion et également des adventices (les mauvaises herbes)
- La mise en place de corridors biologiques : haies et bandes enherbées en bordure des parcelles permettant la circulation des espèces.
Le bananier est un arbre qui a besoin de beaucoup d’eau et de chaleur. Avec des conditions climatiques très particulières, la Martinique et la Guadeloupe sont des endroits privilégiés qui méritent d’être préserver.