Des manifestations contre le chômage, les violences policières et la corruption ont eu lieu mardi 25 janvier mais auparavant, des militants de l’opposition, parmi lesquels des membres de l’organisation interdite des Frères musulmans et de l’Association nationale pour le changement auraient été convoqués et menacés d’arrestation et d’emprisonnement s’ils maintenaient leur projet.
"L’Égypte doit autoriser les manifestations pacifiques et cesser d’arrêter et d’intimider les militants pacifiques de l’opposition. Les forces de sécurité du pays ont un bilan inquiétant en matière de répression des manifestants et nous leur demandons instamment de s’abstenir de tout recours à une force excessive et disproportionnée", a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen Orient et Afrique du Nord.
"L’Égypte doit autoriser les manifestations pacifiques et cesser d’arrêter et d’intimider les militants pacifiques de l’opposition. Les forces de sécurité du pays ont un bilan inquiétant en matière de répression des manifestants et nous leur demandons instamment de s’abstenir de tout recours à une force excessive et disproportionnée", a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen Orient et Afrique du Nord.