Encore sous le choc, la corporation des journaliste de Bukavu s’interroge sur ce arrive à ses membres. Mais qui tue donc les journalistes de Bukavu. Cette question est au centre des réflexions de tous les journalistes et des habitants de la ville. Cette vile qualifiée de « cité du crime » par un rapport de l’organisation de défense des droits des journalistes JED, Journaliste en Danger.
Un assassinat de trop!
Selon les indications, Bruno Koko a été poignardé en plein cœur par des inconnus et a perdu beaucoup de sang. Arrivé à l’hôpital vers 01 h 30 du matin (locale), il a rendu l’âme. Un de ses amis avec qui il était samedi soir, a affirmé qu’ils ont été attaqués par 8 personnes bien armées. Son ami a reçu juste un coup de poing, mais Bruno a été poursuivi jusqu’à être poignardé. Les tueurs ne lui ont rien pris.
On ne peut à ce stade dire si le meurtre de Koko Bruno est lié à son statut de journaliste ou s’il ne s’agit que d’un meurtre crapuleux. Ce qui étonne est que au même endroit quelques heures avant des coups de feu ont entendus et une personne y a été poignardée dans le dos. Les jeunes journalistes sont particulièrement émus par cet assassinat. Pendant tout le temps du deuil ils ont montré une solidarité et une spontanéité sans faille. Mais la question qui est sur toutes les lèvres est à qui le prochain tour ?
Difficile d’accéder aux sources.
On se rappellera que lors de la célébration de la journée de la liberté de la presse en mai dernier, l’Union nationale de la presse du Congo, le syndicat national des journalistes avaient déploré la difficulté pour les journalistes d’accéder aux sources surtout officielles. En cette période des opérations militaires contre les rebelles rwandais, les journalistes se contentent des communiqués du commandement des opérations et personne ne se rend sur le terrain pour voir ce qui se passe réellement.
Une enquête pour quel résultat !
Comme d’habitude une enquête a été ouverte par la police mais on n’attend pas grand-chose de celle-ci. Car plus de huit mois après l’assassinat de Didace Namujimbo aucun procès ne s’est tenu. Bien plus les organisations internationales de protection des journalistes exigent la reprise du procès dans l’affaire Serge Maheshe.
Comme Jean Bruno Koko CHIRAMBIZA était aussi étudiant, ses camarades ont pacifiquement marché mercredi 26 août pour exiger aux autorités de rechercher et de punir les auteurs de ce crime.
Un assassinat de trop!
Selon les indications, Bruno Koko a été poignardé en plein cœur par des inconnus et a perdu beaucoup de sang. Arrivé à l’hôpital vers 01 h 30 du matin (locale), il a rendu l’âme. Un de ses amis avec qui il était samedi soir, a affirmé qu’ils ont été attaqués par 8 personnes bien armées. Son ami a reçu juste un coup de poing, mais Bruno a été poursuivi jusqu’à être poignardé. Les tueurs ne lui ont rien pris.
On ne peut à ce stade dire si le meurtre de Koko Bruno est lié à son statut de journaliste ou s’il ne s’agit que d’un meurtre crapuleux. Ce qui étonne est que au même endroit quelques heures avant des coups de feu ont entendus et une personne y a été poignardée dans le dos. Les jeunes journalistes sont particulièrement émus par cet assassinat. Pendant tout le temps du deuil ils ont montré une solidarité et une spontanéité sans faille. Mais la question qui est sur toutes les lèvres est à qui le prochain tour ?
Difficile d’accéder aux sources.
On se rappellera que lors de la célébration de la journée de la liberté de la presse en mai dernier, l’Union nationale de la presse du Congo, le syndicat national des journalistes avaient déploré la difficulté pour les journalistes d’accéder aux sources surtout officielles. En cette période des opérations militaires contre les rebelles rwandais, les journalistes se contentent des communiqués du commandement des opérations et personne ne se rend sur le terrain pour voir ce qui se passe réellement.
Une enquête pour quel résultat !
Comme d’habitude une enquête a été ouverte par la police mais on n’attend pas grand-chose de celle-ci. Car plus de huit mois après l’assassinat de Didace Namujimbo aucun procès ne s’est tenu. Bien plus les organisations internationales de protection des journalistes exigent la reprise du procès dans l’affaire Serge Maheshe.
Comme Jean Bruno Koko CHIRAMBIZA était aussi étudiant, ses camarades ont pacifiquement marché mercredi 26 août pour exiger aux autorités de rechercher et de punir les auteurs de ce crime.