"Sur les cent espèces végétales qui fournissent 90% de la nourriture dans le monde, plus de 70% sont dépendent des abeilles pour leur pollinisation", a précisé le Directeur du PNUE, Achim Steiner, à l'occasion de la sortie du rapport baptisée "Désordre dans les colonies d'abeilles et autres menaces sur les pollinisateurs".
Sur la liste des facteurs dangereux, le rapport du PNUE place de nouveaux types d'agents pathogènes fongiques virulents, potentiellement mortels pour les abeilles et d'autres pollinisateurs, qui se sont développés et répandus dans le monde entier, à la faveur de la mondialisation et de la croissance rapide des échanges commerciaux de biens autour du globe. Environ 20.000 espèces de plantes à fleurs, dont dépendent de nombreuses espèces d'abeilles pour se nourrir, pourraient être perdues rapidement, si aucun effort de conservation n'est déployée: depuis les années 1980, il y a eu une baisse de 70% des fleurs sauvages de la planète.
"Les êtres humains ont fabriqué une illusion, celle consistant à imaginer qu'au 21ème siècle, ils disposeraient des prouesses technologiques leur permettant d';être indépendants de la nature (...) Il y a une autres réalité: dans un monde de près de 7 milliards d'humains, nous sommes plus dépendants de la nature, et pas non l'inverse".
Sur la liste des facteurs dangereux, le rapport du PNUE place de nouveaux types d'agents pathogènes fongiques virulents, potentiellement mortels pour les abeilles et d'autres pollinisateurs, qui se sont développés et répandus dans le monde entier, à la faveur de la mondialisation et de la croissance rapide des échanges commerciaux de biens autour du globe. Environ 20.000 espèces de plantes à fleurs, dont dépendent de nombreuses espèces d'abeilles pour se nourrir, pourraient être perdues rapidement, si aucun effort de conservation n'est déployée: depuis les années 1980, il y a eu une baisse de 70% des fleurs sauvages de la planète.
"Les êtres humains ont fabriqué une illusion, celle consistant à imaginer qu'au 21ème siècle, ils disposeraient des prouesses technologiques leur permettant d';être indépendants de la nature (...) Il y a une autres réalité: dans un monde de près de 7 milliards d'humains, nous sommes plus dépendants de la nature, et pas non l'inverse".
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