Télécentre à Yoff, au Sénégal. Photo (c) Manuele Zunelli
Depuis près d’une décennie les médias en ligne font florès au Sénégal. Parmi les premiers sur la toile on peut citer sunuweb (notre web) et rewmi.com (notre pays.com). Grâce à leur mission pionnière bien réussie, ils ont suscités l’engouement de larges couches de la population notamment les jeunes au surf. Portés plus sur l’information générale, aujourd’hui c’est par dizaine que l’on compte ces sites. L’Etat du Sénégal, dans le cadre de la réorganisation du secteur de l’information à travers un nouveau code de la presse, a tenu à structurer davantage les médias numériques.
Effets négatifs sur les médias classiques
Il est souvent reproché aux médias en ligne de mener une concurrence déloyale aux journaux de la presse écrite. En effet, les journaux son achetés de moins en moins. Car, beaucoup d’internautes trouvent plus facile et économique de consulter l’actualité sur le web. Ceci a eu pour conséquence un déploiement massif des organes de presses écrites, audiovisuelles en ligne. C’est ainsi que l’espace numérique s’est agrandi avec à la clé des obligations de créativité et d’ingéniosité. La connexion à internet, grâce à un téléphone portable, a rendu l’information plus accessible.
Quel avenir pour les médias numériques au Sénégal ?
L’intérêt que connaissent ces derniers depuis quelques années présage d’un avenir radieux. Les charges d’une entreprise de presse en ligne étant moindres comparées à celle classique, beaucoup de journalistes peuvent se mettre à leur propre compte sans trop de frais. Seulement, s’il est vrai que l’engouement pour ce type de média est réel, il reste entendu qu’il exige un vrai professionnalisme. Au Sénégal, beaucoup de site reprennent d’autres informations d’ailleurs. Ce qui n’est peut-être pas mauvais. Mais, serait-il plus intéressant d’avoir des journalistes spécialisés. L’écriture journalistique a ses propres exigences suivant ses différents supports. Un média comme le Podcast Journal fait partie des médias numériques visités au Sénégal.
En tout état de cause, pour gagner le pari d’un réel développement des médias numériques au Sénégal, des efforts importants devraient être faits en matière de réglementation et de contenu. Mais aussi, l’on devrait davantage développer la presse spécialisée pour accompagner le discours sur le développement dans ses secteurs clés. C’est en acceptant ces mutations nécessaires que leur avenir pour être radieux.
Effets négatifs sur les médias classiques
Il est souvent reproché aux médias en ligne de mener une concurrence déloyale aux journaux de la presse écrite. En effet, les journaux son achetés de moins en moins. Car, beaucoup d’internautes trouvent plus facile et économique de consulter l’actualité sur le web. Ceci a eu pour conséquence un déploiement massif des organes de presses écrites, audiovisuelles en ligne. C’est ainsi que l’espace numérique s’est agrandi avec à la clé des obligations de créativité et d’ingéniosité. La connexion à internet, grâce à un téléphone portable, a rendu l’information plus accessible.
Quel avenir pour les médias numériques au Sénégal ?
L’intérêt que connaissent ces derniers depuis quelques années présage d’un avenir radieux. Les charges d’une entreprise de presse en ligne étant moindres comparées à celle classique, beaucoup de journalistes peuvent se mettre à leur propre compte sans trop de frais. Seulement, s’il est vrai que l’engouement pour ce type de média est réel, il reste entendu qu’il exige un vrai professionnalisme. Au Sénégal, beaucoup de site reprennent d’autres informations d’ailleurs. Ce qui n’est peut-être pas mauvais. Mais, serait-il plus intéressant d’avoir des journalistes spécialisés. L’écriture journalistique a ses propres exigences suivant ses différents supports. Un média comme le Podcast Journal fait partie des médias numériques visités au Sénégal.
En tout état de cause, pour gagner le pari d’un réel développement des médias numériques au Sénégal, des efforts importants devraient être faits en matière de réglementation et de contenu. Mais aussi, l’on devrait davantage développer la presse spécialisée pour accompagner le discours sur le développement dans ses secteurs clés. C’est en acceptant ces mutations nécessaires que leur avenir pour être radieux.