Les Français pourront partir en vacances (C) PxHere
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Avec une fermeture des restaurants, hôtels et lieux touristiques exigée depuis le début du confinement, le secteur du tourisme a durement été frappé par l'épidémie du coronavirus et vit aujourd'hui la pire épreuve de son histoire.
Un plan de sauvetage de 18 milliards d’euros est mis en place pour venir en aide aux 2 millions de professionnels du tourisme.
Le fonds de solidarité engagé depuis plusieurs semaines ainsi que le chômage partiel sont reconduits jusqu’au mois de septembre pour les institutions ayant connues des pertes trop lourdes. Le Premier ministre a également promis une exonération des cotisations sociales patronales jusqu’à la réouverture de ces entreprises du tourisme.
Le gouvernement se positionnera lors de la semaine du 25 mai pour conclure à une réouverture des cafés et restaurants dès le 2 juin dans les départements classés vert sous réserve que la "capacité à contenir l’épidémie soit démontrée".
Le Premier ministre a indiqué : "Nous voulons éviter le risque d’une 2eme vague qui ruinerait les efforts consentis par tous les Français durant ces deux mois de confinement".
Si celui-ci a entendu les nombreuses réclamations des professionnels du tourisme en mettant sur la table des milliards d'euros, il a tout de même souligné son refus sur une éventuelle baisse de la TVA.
La saison est ouverte
"Les Français pourront partir en vacances en juillet et en août", c'est ce que le Premier ministre a dévoilé lors de son plan de relance du tourisme, en "émettant toutefois des réserves au regard de l’évolution de l’épidémie et des restrictions pouvant être imposées dans certains département".
Ceux qui désirent réserver leurs vacances dès maintenant sont autorisés à le faire en précisant que "les acteurs du tourisme, de l'hôtellerie, se sont engagés à faire en sorte qu'ils soient intégralement remboursés dans l'hypothèse où l'évolution de l'épidémie ne rendrait pas possible le départ en vacances".
Pour soutenir les restaurants, bars et hôtels du pays, et inciter les Français à retourner dans ces lieux de rassemblements, le plafond journalier du ticket restaurant a doublé en passant de 19 à 38 euros.
Un plan de sauvetage de 18 milliards d’euros est mis en place pour venir en aide aux 2 millions de professionnels du tourisme.
Le fonds de solidarité engagé depuis plusieurs semaines ainsi que le chômage partiel sont reconduits jusqu’au mois de septembre pour les institutions ayant connues des pertes trop lourdes. Le Premier ministre a également promis une exonération des cotisations sociales patronales jusqu’à la réouverture de ces entreprises du tourisme.
Le gouvernement se positionnera lors de la semaine du 25 mai pour conclure à une réouverture des cafés et restaurants dès le 2 juin dans les départements classés vert sous réserve que la "capacité à contenir l’épidémie soit démontrée".
Le Premier ministre a indiqué : "Nous voulons éviter le risque d’une 2eme vague qui ruinerait les efforts consentis par tous les Français durant ces deux mois de confinement".
Si celui-ci a entendu les nombreuses réclamations des professionnels du tourisme en mettant sur la table des milliards d'euros, il a tout de même souligné son refus sur une éventuelle baisse de la TVA.
La saison est ouverte
"Les Français pourront partir en vacances en juillet et en août", c'est ce que le Premier ministre a dévoilé lors de son plan de relance du tourisme, en "émettant toutefois des réserves au regard de l’évolution de l’épidémie et des restrictions pouvant être imposées dans certains département".
Ceux qui désirent réserver leurs vacances dès maintenant sont autorisés à le faire en précisant que "les acteurs du tourisme, de l'hôtellerie, se sont engagés à faire en sorte qu'ils soient intégralement remboursés dans l'hypothèse où l'évolution de l'épidémie ne rendrait pas possible le départ en vacances".
Pour soutenir les restaurants, bars et hôtels du pays, et inciter les Français à retourner dans ces lieux de rassemblements, le plafond journalier du ticket restaurant a doublé en passant de 19 à 38 euros.
Passer la nuit en prison
