Le gouvernement avait prévu une croissance de +1,4 % en avril dernier, cependant le Produit Intérieur Brut (PIB) est passé à 2,2 % au deuxième trimestre. Il faut dire que les exportations allemandes y sont pour quelques choses dans cette progression.
Rainer Brüderle, ministre de l'économie avait indiqué qu'il s'attendait à une croissance "bien plus que 2 %". Et le Ministère des Finances de mentionner un ralentissement au second semestre mais qu'il y aurait une nette amélioration des revenus des ménages puisque le chômage n'a été que de 7,6 % en juillet, et d'ajouter : "cela devrait favoriser la reprise de la consommation privée"
Si le taux de 3 % était maintenu, l'Allemagne deviendrait incontestablement, la locomotive pour l'économie européenne
C'est jeudi que le Bund allemand atteignait un plus bas historique, et c'est la première fois que Berlin paye aussi peu pour emprunter de l'argent, il faut dire que les investisseurs ont une confiance absolue dans l'économie du pays et sont devenus un peu moins méfiants sur les autres économies européennes.
Rainer Brüderle, ministre de l'économie avait indiqué qu'il s'attendait à une croissance "bien plus que 2 %". Et le Ministère des Finances de mentionner un ralentissement au second semestre mais qu'il y aurait une nette amélioration des revenus des ménages puisque le chômage n'a été que de 7,6 % en juillet, et d'ajouter : "cela devrait favoriser la reprise de la consommation privée"
Si le taux de 3 % était maintenu, l'Allemagne deviendrait incontestablement, la locomotive pour l'économie européenne
C'est jeudi que le Bund allemand atteignait un plus bas historique, et c'est la première fois que Berlin paye aussi peu pour emprunter de l'argent, il faut dire que les investisseurs ont une confiance absolue dans l'économie du pays et sont devenus un peu moins méfiants sur les autres économies européennes.