Le CERN a été établi après la Seconde guerre mondiale pour donner à l'Europe un laboratoire de recherche fondamentale sur la physique des particules pour promouvoir la paix. Au cours de son histoire, ce laboratoire est devenu un exemple de coopération scientifique et technologique mondiale.
"La course aux armements absorbe des ressources financières et des talents scientifiques qui pourraient être utilisés pour répondre à des problèmes pressants auxquels l'humanité est confrontée. (...) Qu'il s'agisse de lutter contre le changement climatique, stopper le virus Ebola, répondre aux cyberattaques, ou lutter contre la prolifération nucléaire, nous avons de scientifiques qui ont une vision claire et sont déterminés à travailler ensemble pour trouver des solutions", a déclaré le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, dans un discours. Il a plaidé pour une participation plus grande des femmes et des jeunes filles dans les domaines scientifiques.
Le Président du Conseil économique et social (ECOSOC), Martin Sajdik, a estimé de son côté que la science avait la capacité d'avoir un impact significatif sur les aspects économique, social et environnemental du développement durable.
Pour sa part, le Président de l'Assemblée générale, Sam Kutesa, a souligné qu'il fallait davantage d'investissements dans la recherche scientifique fondamentale pour libérer le vaste potentiel humain inexploité, notamment dans les pays en développement.
Il a noté que l'épidémie d'Ebola nous rappelait qu'il y avait beaucoup de travail à accomplir. "Nous devons continuer à investir dans l'innovation scientifique et technologique pour combattre la pauvreté et pour avancer sur le chemin d'un développement durable."
"La course aux armements absorbe des ressources financières et des talents scientifiques qui pourraient être utilisés pour répondre à des problèmes pressants auxquels l'humanité est confrontée. (...) Qu'il s'agisse de lutter contre le changement climatique, stopper le virus Ebola, répondre aux cyberattaques, ou lutter contre la prolifération nucléaire, nous avons de scientifiques qui ont une vision claire et sont déterminés à travailler ensemble pour trouver des solutions", a déclaré le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, dans un discours. Il a plaidé pour une participation plus grande des femmes et des jeunes filles dans les domaines scientifiques.
Le Président du Conseil économique et social (ECOSOC), Martin Sajdik, a estimé de son côté que la science avait la capacité d'avoir un impact significatif sur les aspects économique, social et environnemental du développement durable.
Pour sa part, le Président de l'Assemblée générale, Sam Kutesa, a souligné qu'il fallait davantage d'investissements dans la recherche scientifique fondamentale pour libérer le vaste potentiel humain inexploité, notamment dans les pays en développement.
Il a noté que l'épidémie d'Ebola nous rappelait qu'il y avait beaucoup de travail à accomplir. "Nous devons continuer à investir dans l'innovation scientifique et technologique pour combattre la pauvreté et pour avancer sur le chemin d'un développement durable."