La voiture représente le deuxième poste de dépense des ménages français; posséder et faire rouler un véhicule coûte de plus en plus cher
L’argus a calculé le PRK de chaque véhicule en fonction de différents critères comme la consommation de carburant, le coût de la carte grise, le prix de l’assurance, l’entretien (pneumatiques, amortisseurs, batterie, etc.) et le coût d’un éventuel crédit, sans oublier la décote. Les données ont été calculées sur cinq années d’utilisation (de 1 à 5), avec des kilométrages oscillant entre 10.000 et 35.000 km/an.
Le choix du carburant est non seulement modulé par le nombre de kilomètres parcourus dans l'année, mais aussi par son type d’utilisation. D'une manière générale, il est souvent plus intéressant de s'offrir une version diesel lorsqu'on parcourt plus de 15.000 km par an, et plutôt en dehors des villes. Ce chiffre est en train d'être revu à la hausse. Prix des carburants stagnant à un niveau bas, moteurs à essence de nouvelle génération, versions hybrides offrant un niveau de consommation toujours plus bas et nouveaux systèmes de dépollution coûteux à intégrer dans les diesels d'aujourd'hui, font qu'il est de plus en plus intéressant d'acheter un véhicule à essence. Sans oublier leurs prix d’achat et coût de fonctionnement plus faibles qui tirent leur PRK vers le bas.
Dans tous les tableaux, indépendamment de la durée de possession, les chiffres les plus élevés se trouvent toujours dans la colonne correspondant au kilométrage le plus faible, soit seulement 10.000 km par an dans le cadre du PRK. Une voiture qui ne roule pas coûte cher compte tenu des frais fixes (révision périodique et assurance identiques quel que soit le kilométrage, décote plus forte les trois premières années de détention) qui sont plus ou moins équivalents que l’on roule ou pas. A l’inverse, plus on roule, plus le coût au kilomètre est amorti et baisse.
Le choix du carburant est non seulement modulé par le nombre de kilomètres parcourus dans l'année, mais aussi par son type d’utilisation. D'une manière générale, il est souvent plus intéressant de s'offrir une version diesel lorsqu'on parcourt plus de 15.000 km par an, et plutôt en dehors des villes. Ce chiffre est en train d'être revu à la hausse. Prix des carburants stagnant à un niveau bas, moteurs à essence de nouvelle génération, versions hybrides offrant un niveau de consommation toujours plus bas et nouveaux systèmes de dépollution coûteux à intégrer dans les diesels d'aujourd'hui, font qu'il est de plus en plus intéressant d'acheter un véhicule à essence. Sans oublier leurs prix d’achat et coût de fonctionnement plus faibles qui tirent leur PRK vers le bas.
Dans tous les tableaux, indépendamment de la durée de possession, les chiffres les plus élevés se trouvent toujours dans la colonne correspondant au kilométrage le plus faible, soit seulement 10.000 km par an dans le cadre du PRK. Une voiture qui ne roule pas coûte cher compte tenu des frais fixes (révision périodique et assurance identiques quel que soit le kilométrage, décote plus forte les trois premières années de détention) qui sont plus ou moins équivalents que l’on roule ou pas. A l’inverse, plus on roule, plus le coût au kilomètre est amorti et baisse.
Dacia, le meilleur rapport qualité/prix
L’an passé, le Dacia Duster 1.5 dCi 90 affichait le PRK le moins élevé avec 48 centimes du kilomètre (la première année de possession, pour 10.000 km parcourus). Cette année encore, les modèles Dacia sont ceux qui ont, et de loin, le meilleur rapport entre prix de revient kilométrique et dimensions extérieures.
C’est la Dacia Sandero 1.2 16V qui affiche cette année le PRK le plus bas (0,47 €/km la première année de détention pour 10.000 km). Avec un PRK de 0,48 €/km, la Logan et le Duster viennent compléter le podium malgré leur carrosserie qui appartient à des catégories supérieures, où les PRK de plus du double sont courants.
Grâce à une technologie économe en entretien, seule la Toyota Yaris Hybride (citadine polyvalente) parvient à afficher un faible PRK de 0,48 €/km.
L’année dernière, le 4X4 de marque Infiniti, le FX 37 S Premium, arrivait en tête des voitures les plus chères avec un PRK de 4,95 €/km, au cours de la première année de possession pour 10.000 km. Cette année, c’est la Mercedes Classe E 500 Executive qui rafle la mise avec un PRK de 5,16 € pour les mêmes critères. Motorisée par un bloc V8 de 5 litres de cylindrée d’une puissance de 408 ch, elle ne vise évidemment pas les économies de carburant ou d’entretien; sa consommation mixte officielle n’étant pourtant que de 8,9 l/100 km.
Six autres modèles (Audi, Infiniti, Lexus, Mercedes) affichent quant à eux des PRK compris entre 4 et 5 € pour les mêmes critères de possession et de kilométrage.
C’est la Dacia Sandero 1.2 16V qui affiche cette année le PRK le plus bas (0,47 €/km la première année de détention pour 10.000 km). Avec un PRK de 0,48 €/km, la Logan et le Duster viennent compléter le podium malgré leur carrosserie qui appartient à des catégories supérieures, où les PRK de plus du double sont courants.
Grâce à une technologie économe en entretien, seule la Toyota Yaris Hybride (citadine polyvalente) parvient à afficher un faible PRK de 0,48 €/km.
L’année dernière, le 4X4 de marque Infiniti, le FX 37 S Premium, arrivait en tête des voitures les plus chères avec un PRK de 4,95 €/km, au cours de la première année de possession pour 10.000 km. Cette année, c’est la Mercedes Classe E 500 Executive qui rafle la mise avec un PRK de 5,16 € pour les mêmes critères. Motorisée par un bloc V8 de 5 litres de cylindrée d’une puissance de 408 ch, elle ne vise évidemment pas les économies de carburant ou d’entretien; sa consommation mixte officielle n’étant pourtant que de 8,9 l/100 km.
Six autres modèles (Audi, Infiniti, Lexus, Mercedes) affichent quant à eux des PRK compris entre 4 et 5 € pour les mêmes critères de possession et de kilométrage.
Un amour de coccinelle
