Fait divers de la semaine 1.mp3 (104.49 Ko)
Le centre hospitalier de Nancy (Meurthe-et-Moselle, France) avait déjà traité pendant dix ans un homme par erreur pour le syndrome d'Alzheimer qu'il n'avait pas. Ce qui attire l'attention des internautes en ce moment, c'est le cas cauchemardesque d'une mère de famille de 45 ans et de sa fille qui ont été traitées à tort suite à un mauvais diagnostic.
Il y a 8 ans, Mireille, alors âgée de 37 ans, habitante de Lunéville, est allée consulter au CHU de Nancy, à cause de ses douleurs intenses articulaires. L'hôpital lui diagnostique alors une forme rare de myopathie, une maladie dégénérative génétique, la myopathie mitochondriale. Elle et sa fille ont été soignées durant 7 ans alors qu'elles n'avaient rien et ont vécu dans l'angoisse.
En 2014, les nouveaux examens effectués ont invalidé le diagnostic erroné. La mère de famille réclame réparation pour cette erreur médicale qui a bouleversé leur vie: "Un flash des cauchemars, de toutes ces années retirées à mon mari, à mon garçon et à ma fille", dit-elle.
Son avocat demande 100.000 euros de provision de dommages et intérêts au CHU de Nancy.
Il y a 8 ans, Mireille, alors âgée de 37 ans, habitante de Lunéville, est allée consulter au CHU de Nancy, à cause de ses douleurs intenses articulaires. L'hôpital lui diagnostique alors une forme rare de myopathie, une maladie dégénérative génétique, la myopathie mitochondriale. Elle et sa fille ont été soignées durant 7 ans alors qu'elles n'avaient rien et ont vécu dans l'angoisse.
En 2014, les nouveaux examens effectués ont invalidé le diagnostic erroné. La mère de famille réclame réparation pour cette erreur médicale qui a bouleversé leur vie: "Un flash des cauchemars, de toutes ces années retirées à mon mari, à mon garçon et à ma fille", dit-elle.
Son avocat demande 100.000 euros de provision de dommages et intérêts au CHU de Nancy.