Plusieurs quartiers de Dakar, la capitale et de sa banlieue se sont retrouvés sous les eaux après les fortes précipitations de la semaine dernière occasionnant d'énormes désagréments. Cette situation qui passe pour être habituelle est observée dans des zones dites "inondables" exposant les populations à l'insécurité et à la maladie.
En guise de réponse, l'Etat a déclenché un plan Orsec (organisation des secours). D'un coût estimé à deux milliards de francs Cfa, ce plan, intéressant tout le territoire national, est de l'avis du Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, "déclenché pour soulager les populations". Ainsi, des opérations de relogement des sans abris se sont déroulées à Dakar, région fortement frappée.
A cet effort, s'est joint la Croix Rouge en distribuant du matériel aux sinistrés.
Ces populations, qui prennent leur mal en patience, ne sont pas encore au bout de leur peine. En effet, elles font face, depuis quelques temps, à des coupures intempestives délectricité. L'exacerbation de ce phénomène a conduit à des vagues de mécontement et de protestations qui ont déferlé dans les rues de la capitale sénégalaise. De violentes manifestations avec échanges de gaz lacrymogènes et de projectiles ont opposé manifestants et forces de l'ordre. A Saint-louis, capitale du nord, les forces de l'ordre, présentes en ce lieu pour les besoins de la commémoration de la prière des "deux raakats", ont dû contenir la colère des populations.
Au sortir d'une réunion sur l'énergie, tenue en présence des minsitres concernés, le Premier ministre a vivement exprimé sa préoccupation. "La sortie des jeunes dans la rue fait suite aux délestages. Donc, si nous nous sommes réunis c'est parce que nous avons senti que ces délestages là commençaient à faire grincer des dents" a t-il notamment indiqué.
En tout état de cause, la tension monte prenant des allures inquiètantes. Par effet de contagion, le cercle des manifestations s'agrandit de jour en jour. Les dernières en date se sont déroulées à Dakar dans les quartiers de Fass Delorme, Médina, Colobane. Des pneus ont été incendiés et des bus de la société de transport "Dakar Dem Dikk" pris pour cible. D'ailleurs, en raison de ces actes qualifiés de vandalisme, ladite société a décidé ce mercredi de suspendre son réseau à partir de 19h.
En somme, tout semble présager que la situation irait de mal en pis si aucune amélioration n'est apportée dans la fourniture du courant électrique.
En guise de réponse, l'Etat a déclenché un plan Orsec (organisation des secours). D'un coût estimé à deux milliards de francs Cfa, ce plan, intéressant tout le territoire national, est de l'avis du Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye, "déclenché pour soulager les populations". Ainsi, des opérations de relogement des sans abris se sont déroulées à Dakar, région fortement frappée.
A cet effort, s'est joint la Croix Rouge en distribuant du matériel aux sinistrés.
Ces populations, qui prennent leur mal en patience, ne sont pas encore au bout de leur peine. En effet, elles font face, depuis quelques temps, à des coupures intempestives délectricité. L'exacerbation de ce phénomène a conduit à des vagues de mécontement et de protestations qui ont déferlé dans les rues de la capitale sénégalaise. De violentes manifestations avec échanges de gaz lacrymogènes et de projectiles ont opposé manifestants et forces de l'ordre. A Saint-louis, capitale du nord, les forces de l'ordre, présentes en ce lieu pour les besoins de la commémoration de la prière des "deux raakats", ont dû contenir la colère des populations.
Au sortir d'une réunion sur l'énergie, tenue en présence des minsitres concernés, le Premier ministre a vivement exprimé sa préoccupation. "La sortie des jeunes dans la rue fait suite aux délestages. Donc, si nous nous sommes réunis c'est parce que nous avons senti que ces délestages là commençaient à faire grincer des dents" a t-il notamment indiqué.
En tout état de cause, la tension monte prenant des allures inquiètantes. Par effet de contagion, le cercle des manifestations s'agrandit de jour en jour. Les dernières en date se sont déroulées à Dakar dans les quartiers de Fass Delorme, Médina, Colobane. Des pneus ont été incendiés et des bus de la société de transport "Dakar Dem Dikk" pris pour cible. D'ailleurs, en raison de ces actes qualifiés de vandalisme, ladite société a décidé ce mercredi de suspendre son réseau à partir de 19h.
En somme, tout semble présager que la situation irait de mal en pis si aucune amélioration n'est apportée dans la fourniture du courant électrique.
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