Photo (c) Sébastien Bertrand
Les conditions politiques du pays sont peu favorables à une discussion sur un possible plan d’aide de l’Europe et du FMI. Depuis le 23 mars, le Premier ministre socialiste José Socrates a démissionné à la suite d’un quatrième rejet par l'opposition au Parlement d'un plan d'austérité, qui prévoyait de nouvelles coupes budgétaires et hausses des taxes afin de réduire la dette publique. Les élections législatives anticipées sont prévues le 5 juin.
Un accord définitif est à envisager pour la mi-mai, mais prévoit, en contrepartie de la somme versée, un ajustement budgétaire qui passe par des réformes de compétitivité et un vaste programme de privatisation, ainsi que l’assainissement des banques portugaises.
L’Europe espère que ce nouveau plan de sauvetage (après la Grèce et l’Irlande), soit le dernier.
Un accord définitif est à envisager pour la mi-mai, mais prévoit, en contrepartie de la somme versée, un ajustement budgétaire qui passe par des réformes de compétitivité et un vaste programme de privatisation, ainsi que l’assainissement des banques portugaises.
L’Europe espère que ce nouveau plan de sauvetage (après la Grèce et l’Irlande), soit le dernier.