Un palais… de douceurs ! Photo (C) Ibrahim Chalhoub
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Diplômé en gestion avec un master en ressources humaines, Zaher, membre de la troisième génération de la famille Hallab, est l’assistant du directeur de la production à Kasr El Helou (le palais des douceurs) de Abdul Rahman Hallab et fils. L’institution fut établi en 1881 par le grand-père, Abdul Rahman, et a porté son nom depuis. Les fils Samer, Oussama, Amer, et Adnan ont continué cette profession dans la même institution après être enseignés dans l’art de la fabrication des douceurs arabes avec leur père depuis leur enfance. Ils ont ensuite élargi leur présence géographique au Liban aussi bien que dans les autres pays arabes. Aujourd’hui, c’est le tour de la troisième génération d’ajouter de sa créativité après l’entraînement nécessaire dans l’art de la production des douceurs arabes.
Six jours par semaine, il commence sont travail à dix heures du matin. Zaher travaille lui-même dans la production car "c’est à travers l’apprentissage" qu’il deviendra "maître de la profession".
IC : Vous faites quoi exactement dans la production ?
ZH : Mon travail a deux coté, l’un administratif et l’autre dans la fabrication.
Pour la partie administrative, ce sont des papiers à remplir, de la planification, détermination des nécessités en matière première et ustensiles, etc.
IC : Et pour le travail pratique ?
ZH : Ce serait tout d’abord de la supervision des équipes. Mais, mes jours ne manquent pas de travaux de cuisine. J’assure une aide constante aux équipes surtout quand il y a des absences.
IC : Vous voulez dire que vous cuisinez vous-même ?
ZH : Bien sûr. Regardez ces douceurs à la crème. C’est moi qui les ai fait.
IC : Très bien ! Et à propos de l’innovation que vous avez apporté à Kasr El Helou ?
ZH : C’est à un autre niveau de la production. En effet, j’ai travaillé pour assurer l'exactitude des données dans les rapports de production. Cela abouti à la standardisation des formules et la traçabilité d’une part et à l’implémentation d’un nouveau système de la gestion des déchets, de l’autre part.
IC : Donc plus de rentabilité et de transparence.
ZH : Si vous voulez. J’ai aussi été très actif au niveau de l’amélioration des appareils de production. Un fait que je revoie fréquemment.
IC : Y a-t-il un exemple plus concret qui puisse résumer votre contribution d’une façon ou d’une autre ?
ZH : Voici le numéro de lot. C’est une de mes contributions. Il permet de revoir toutes les informations sur n’importe quel produit à n’importe quel moment puisque toutes les données ont été remplies au moment de la production de chaque lot.
IC : Merci infiniment pour votre temps et vos explications. Le tour dans votre institution était inoubliable.
ZH : Merci a vous. J’aimerai ajouter que n’importe qui pourrait demander un rendez-vous pour venir visiter notre local et faire un tour comme celui que vous avez fait.
Découverte en diapo ci-dessous. (Diapo (C) Ibrahim Chalhoub | Musique : Chance of Scoundrels par Lino Del Vecchio)
Six jours par semaine, il commence sont travail à dix heures du matin. Zaher travaille lui-même dans la production car "c’est à travers l’apprentissage" qu’il deviendra "maître de la profession".
IC : Vous faites quoi exactement dans la production ?
ZH : Mon travail a deux coté, l’un administratif et l’autre dans la fabrication.
Pour la partie administrative, ce sont des papiers à remplir, de la planification, détermination des nécessités en matière première et ustensiles, etc.
IC : Et pour le travail pratique ?
ZH : Ce serait tout d’abord de la supervision des équipes. Mais, mes jours ne manquent pas de travaux de cuisine. J’assure une aide constante aux équipes surtout quand il y a des absences.
IC : Vous voulez dire que vous cuisinez vous-même ?
ZH : Bien sûr. Regardez ces douceurs à la crème. C’est moi qui les ai fait.
IC : Très bien ! Et à propos de l’innovation que vous avez apporté à Kasr El Helou ?
ZH : C’est à un autre niveau de la production. En effet, j’ai travaillé pour assurer l'exactitude des données dans les rapports de production. Cela abouti à la standardisation des formules et la traçabilité d’une part et à l’implémentation d’un nouveau système de la gestion des déchets, de l’autre part.
IC : Donc plus de rentabilité et de transparence.
ZH : Si vous voulez. J’ai aussi été très actif au niveau de l’amélioration des appareils de production. Un fait que je revoie fréquemment.
IC : Y a-t-il un exemple plus concret qui puisse résumer votre contribution d’une façon ou d’une autre ?
ZH : Voici le numéro de lot. C’est une de mes contributions. Il permet de revoir toutes les informations sur n’importe quel produit à n’importe quel moment puisque toutes les données ont été remplies au moment de la production de chaque lot.
IC : Merci infiniment pour votre temps et vos explications. Le tour dans votre institution était inoubliable.
ZH : Merci a vous. J’aimerai ajouter que n’importe qui pourrait demander un rendez-vous pour venir visiter notre local et faire un tour comme celui que vous avez fait.
Découverte en diapo ci-dessous. (Diapo (C) Ibrahim Chalhoub | Musique : Chance of Scoundrels par Lino Del Vecchio)