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En dehors des communes bénéficiaires représentées, la cérémonie a connu la présence du Représentant résident par intérim du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), Odile Sorgho-Moulinier et du Chef section infrastructures de la délégation de l’Union Européenne, Joël Neubert.
En procédant officiellement au lancement du projet, le directeur de cabinet du ministère de l’Environnement, chargé de la gestion des changements climatiques, du reboisement et de la protection des ressources naturelles et forestières, Théophile Worou, a indiqué qu’il vise à lutter contre les inondations dans la basse vallée de l'Oueme et à assurer la gestion durable des ressources forestières et naturelles. Pour lui, la plus-value du projet PAPDFGC réside en ce qu’il porte sur la gestion durable des ressources forestières et communautaires. Parce que, aujourd’hui, la barrière de protection végétale que constituaient les forêts galeries, refuges pour de nombreuses espèces rares ou menaces, est menacée. Afin de continuer à bénéficier des avantages écologiques dont la protection des cours d’eau, l’érection de barrières contre l’érosion, le comblement des lits des cours d'eau et l’atténuation des effets néfastes des inondations, Théophile Worou, soutient qu’il faut les protéger. Enfin, le directeur du cabinet du ministère en charge des changements climatiques, a manifesté sa détermination à veiller à la mise en œuvre effective du projet. "Je prends l'engagement de veiller à ce que le projet ne soit pas dévié de ses objectifs initiaux", signale Théophile Worou. Il a lancé aussi un appel aux autorités locales et aux communautés pour leur implication indispensable à la bonne conduite du projet.
D’une durée de cinq ans et d’un budget d’environ 5,5 milliards de FCFA, le projet est financé par l’Union européenne pour un montant de 8 millions d’euro (5,2 milliards) et par le PNUD à hauteur de 300.000 euro (environ 200 millions de FCFA). Il s’inscrit dans le cadre de l’Alliance Mondiale Contre le Changement Climatique (AMCC), plateforme mise en place par l’Union Européenne en 2008 qui touche près de 30 pays dont le Bénin.
En procédant officiellement au lancement du projet, le directeur de cabinet du ministère de l’Environnement, chargé de la gestion des changements climatiques, du reboisement et de la protection des ressources naturelles et forestières, Théophile Worou, a indiqué qu’il vise à lutter contre les inondations dans la basse vallée de l'Oueme et à assurer la gestion durable des ressources forestières et naturelles. Pour lui, la plus-value du projet PAPDFGC réside en ce qu’il porte sur la gestion durable des ressources forestières et communautaires. Parce que, aujourd’hui, la barrière de protection végétale que constituaient les forêts galeries, refuges pour de nombreuses espèces rares ou menaces, est menacée. Afin de continuer à bénéficier des avantages écologiques dont la protection des cours d’eau, l’érection de barrières contre l’érosion, le comblement des lits des cours d'eau et l’atténuation des effets néfastes des inondations, Théophile Worou, soutient qu’il faut les protéger. Enfin, le directeur du cabinet du ministère en charge des changements climatiques, a manifesté sa détermination à veiller à la mise en œuvre effective du projet. "Je prends l'engagement de veiller à ce que le projet ne soit pas dévié de ses objectifs initiaux", signale Théophile Worou. Il a lancé aussi un appel aux autorités locales et aux communautés pour leur implication indispensable à la bonne conduite du projet.
D’une durée de cinq ans et d’un budget d’environ 5,5 milliards de FCFA, le projet est financé par l’Union européenne pour un montant de 8 millions d’euro (5,2 milliards) et par le PNUD à hauteur de 300.000 euro (environ 200 millions de FCFA). Il s’inscrit dans le cadre de l’Alliance Mondiale Contre le Changement Climatique (AMCC), plateforme mise en place par l’Union Européenne en 2008 qui touche près de 30 pays dont le Bénin.
Contenu du projet
A travers ce projet, la gestion durable et rationnelle des ressources forestières et des ressources en eau permettra de préserver la qualité des sols, de lutter contre l’érosion et de limiter l’impact des crues qui peuvent être dévastatrices. "C’est un grand défi qui nous attend", a signifié le Chef service Infrastructures de la délégation de l’Union Européenne. Le second volet du PAPDFGC est relatif à la cartographie. En effet, le projet permettra à l’institut Géographique National (IGN) qui ne dispose plus de données récentes, de se doter d’une base de données géographiques actualisées, supports pour établir des cartes topographiques détaillées de grandes précisions pouvant être utilisées dans de nombreux domaines tels que la gestion des ressources naturelles, la lutte contre les inondations et la gestion des catastrophes naturelles, l’agriculture, l’urbanisme.
Ainsi, pour la Représentante résidente par intérim du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), Odile Sorgho-Moulinier, le projet répond à l’approche systémique de la biodiversité dans les paysages et secteurs productions et à la consolidation des réseaux de domaines protégés.
Pour mener à bien le projet, du matériel roulant a été remis à l’équipe du projet La représentante résidente du PNUD par intérim, Odile Sorgho-Moulinier accompagnée du représentant de l’Union européenne, Joël Neubert, a remis trois véhicules, 19 motos, 19 ordinateurs et un groupe électrogène avec des consommables. Le lancement a pris fin par la mise en terre de plants près du site de la lagune de Porto-Novo. Un geste symbolique mais qui s’inscrit dans le cadre du projet 10 millions d’âmes, 10 millions d’arbres.
Ainsi, pour la Représentante résidente par intérim du Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), Odile Sorgho-Moulinier, le projet répond à l’approche systémique de la biodiversité dans les paysages et secteurs productions et à la consolidation des réseaux de domaines protégés.
Pour mener à bien le projet, du matériel roulant a été remis à l’équipe du projet La représentante résidente du PNUD par intérim, Odile Sorgho-Moulinier accompagnée du représentant de l’Union européenne, Joël Neubert, a remis trois véhicules, 19 motos, 19 ordinateurs et un groupe électrogène avec des consommables. Le lancement a pris fin par la mise en terre de plants près du site de la lagune de Porto-Novo. Un geste symbolique mais qui s’inscrit dans le cadre du projet 10 millions d’âmes, 10 millions d’arbres.