Cette histoire vraie a été publiée dans les années 50 et est une merveilleuse fable dont la leçon s’applique à nous tous.
Dans la jolie ville de St. Augustine, de grandes bandes de goélands meurent de faim dans l’abondance.
La pêche est toujours bonne, mais les goélands ne savent pas pêcher. Depuis des générations, ils comptent sur les pêcheurs de crevettes qui leur lancent les déchets des filets. Et puis, les bateaux sont partis …
Les crevettiers avaient créé un état de providence pour les… goélands. Les grands oiseaux n’ont jamais pris la peine de pêcher et n’ont jamais appris à leurs petits à pêcher. Ils les conduisaient jusqu’aux filets à crevettes.
Maintenant, les goélands, ces beaux oiseaux libres qui sont presque le symbole de la liberté, meurent de faim parce qu’ils se sont laissés prendre au leurre du secours sans effort en contrepartie ! Ils ont sacrifié leur indépendance à une aumône.
Beaucoup de gens sont comme cela. Ils ne voient rien de mal dans le fait de ramasser de délicieux morceaux venus des filets des impôts des « crevettiers » du gouvernement. Dans d’autres cas, nous mettons le sort de notre vie entre les mains d’éléments extérieurs. Combien d’entre-nous ne sont pas convaincus que leur misère est la faute de toutes sortes d’influences, que la chance est passé chez le voisin mais pas chez soi. La société est-elle réellement la cause de nos « dépendances » ? Si oui dans une infime mesure, nous sommes toujours responsables de nos réactions face aux événements.
Mais que se passera-t-il quand le gouvernement, la société, votre employeur ou vos amis ne pourront plus rien donner ?
Que se passera-t-il pour les enfants nos générations à venir ?
Que se passerait-il avec vous si vous décidiez dès aujourd’hui de ne pas faire dépendre votre bien-être et votre bonheur des autres ?
Ne soyons pas des goélands faciles à duper. Nous devons protéger notre bien être, nos ressources émotionnelles, physiques et financières et développer notre créativité et nos talents pour une vraie autonomie.
Nous sommes les maîtres de notre « univers émotionnel ». Choisissez vos priorités dans vos dépenses, dans vos émotions, dans votre vie professionnelle, dans vos choix.
Et si votre bonheur ne dépendait que de votre attitude face à votre vie ?
Dans la jolie ville de St. Augustine, de grandes bandes de goélands meurent de faim dans l’abondance.
La pêche est toujours bonne, mais les goélands ne savent pas pêcher. Depuis des générations, ils comptent sur les pêcheurs de crevettes qui leur lancent les déchets des filets. Et puis, les bateaux sont partis …
Les crevettiers avaient créé un état de providence pour les… goélands. Les grands oiseaux n’ont jamais pris la peine de pêcher et n’ont jamais appris à leurs petits à pêcher. Ils les conduisaient jusqu’aux filets à crevettes.
Maintenant, les goélands, ces beaux oiseaux libres qui sont presque le symbole de la liberté, meurent de faim parce qu’ils se sont laissés prendre au leurre du secours sans effort en contrepartie ! Ils ont sacrifié leur indépendance à une aumône.
Beaucoup de gens sont comme cela. Ils ne voient rien de mal dans le fait de ramasser de délicieux morceaux venus des filets des impôts des « crevettiers » du gouvernement. Dans d’autres cas, nous mettons le sort de notre vie entre les mains d’éléments extérieurs. Combien d’entre-nous ne sont pas convaincus que leur misère est la faute de toutes sortes d’influences, que la chance est passé chez le voisin mais pas chez soi. La société est-elle réellement la cause de nos « dépendances » ? Si oui dans une infime mesure, nous sommes toujours responsables de nos réactions face aux événements.
Mais que se passera-t-il quand le gouvernement, la société, votre employeur ou vos amis ne pourront plus rien donner ?
Que se passera-t-il pour les enfants nos générations à venir ?
Que se passerait-il avec vous si vous décidiez dès aujourd’hui de ne pas faire dépendre votre bien-être et votre bonheur des autres ?
Ne soyons pas des goélands faciles à duper. Nous devons protéger notre bien être, nos ressources émotionnelles, physiques et financières et développer notre créativité et nos talents pour une vraie autonomie.
Nous sommes les maîtres de notre « univers émotionnel ». Choisissez vos priorités dans vos dépenses, dans vos émotions, dans votre vie professionnelle, dans vos choix.
Et si votre bonheur ne dépendait que de votre attitude face à votre vie ?