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Puis, au moment de la lecture des mots qui confèrent l'écriture de cette langue, c'est la mémoire visuelle qui prend le relais. Toutefois, comme on peut le constater, l'apprentissage peut se servir de la totalité des sens ou d'une partie pour permettre à la mémoire de se développer. On peut donc distinguer la mémoire issue de l'acuité d'un sens de la mémoire issue de l'ensemble de ces sens en fonction de l'expérience vécue.
À présent, considérons l'expérience quotidienne et plaçons-la sur plusieurs niveaux de conscience.
Partons du postulat suivant :
La mémoire enregistre nos expériences passées.
Dans ce cas, l'on doit prendre en compte toute notre histoire depuis le moment de notre naissance. Et si l'on considère que la mémoire stocke les éléments les plus importants ou les plus impressionnants dans le cortex, on est alors à peu près sûr que notre naissance laisse des traces indélébiles.
On en arrive alors à un autre constat :
La mémoire est liée à notre développement psychoaffectif.
Quel impact peut donc avoir notre premier contact avec la vie au moment même de notre naissance sur la mémoire ?
Est-ce que l'amour, que nous recevons ou pas, l'accueil chaleureux ou l'indifférence d'un parent agissent-ils sur notre développement et sur notre mémoire ?
Notre mémoire va-t-elle, à la suite de cette première expérience, stocker des informations favorables à notre croissance ou limiter notre potentiel ?
Les scientifiques qui se penchent sur la question de la mémoire s'accordent sur le fait qu'il existe bien une interdépendance entre l'expérience et la mémoire acquises. On parle de mémoire sensorielle qui se développe de plusieurs façons. On note trois types principaux de mémoire.
La mémoire sensorielle qui s'imprègne de tout ce que les sens lui transmettent. Elle ne conserve que très peu de temps les perceptions, à peine plus de trois secondes.
La mémoire à court terme qui se comporte d'une manière sensiblement identique à la précédente, sinon qu'elle garde plus longtemps les traces laissées par les événements, les rapports sociaux... On pourrait presque dire qu'elle sert d'intermédiaire avec la mémoire suivante.
La mémoire à long terme retient les événements marquants, le langage, la sémantique des mots, les visages...
On peut donc constater que la mémoire, par des chemins multiples, trouve son essence dans l'expérience et se développe à partir des sens.
Jean-Marc Gros est éditeur et coach, il s'est spécialisé ces dernières années en développement personnel et en marketing internet qui le passionne depuis 2001. Il distribue gratuitement des ressources, des séances audio, des vidéos, des livres gratuits et des guides pratiques que vous pouvez télécharger aujourd'hui même pour votre succès!
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On en arrive alors à un autre constat :
La mémoire est liée à notre développement psychoaffectif.
Quel impact peut donc avoir notre premier contact avec la vie au moment même de notre naissance sur la mémoire ?
Est-ce que l'amour, que nous recevons ou pas, l'accueil chaleureux ou l'indifférence d'un parent agissent-ils sur notre développement et sur notre mémoire ?
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La mémoire sensorielle qui s'imprègne de tout ce que les sens lui transmettent. Elle ne conserve que très peu de temps les perceptions, à peine plus de trois secondes.
La mémoire à court terme qui se comporte d'une manière sensiblement identique à la précédente, sinon qu'elle garde plus longtemps les traces laissées par les événements, les rapports sociaux... On pourrait presque dire qu'elle sert d'intermédiaire avec la mémoire suivante.
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On peut donc constater que la mémoire, par des chemins multiples, trouve son essence dans l'expérience et se développe à partir des sens.
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