Debacle XV la Rose les Bleus (366.04 Ko)
C’est avec déception que les Anglais ont assisté à l’élimination prématurée de leur équipe nationale de la coupe du monde de rugby qu’ils organisent eux-mêmes. Les Tricolores ne feront pas mieux qu’une sortie en quarts, après une lourde défaite (62 à 13) face aux Néozélandais. S’agit-il, pour les deux équipes, d’une mauvaise préparation? Sélections sans niveau ni encadrement bien inspiré? Comment relever la tête après cette déroute?
Pour décrire cet échec, les médias utilisent des termes forts: humiliation, fessée, cauchemar. Les Anglais digèrent mal que leur équipe n’ait pas atteint au moins les quarts de finale, le minimum pour un pays hôte. Ils ont vite compris que pour rebondir, il va falloir se mettre en cause, recommencer à zéro et travailler dur. Selon "L’Équipe" toute l’organisation du rugby anglais risque d’être revue et tout le staff est invité à y contribuer. Seulement, l’avenir du sélectionneur est incertain.
Pour les Français, l’élimination est un désastre insupportable et le premier à en payer le prix c’est Philippe Saint-André, qui, non seulement assume les responsabilités mais a aussi dit "au revoir" à la sélection. On lui avait confié une 3e équipe au rang mondial et il la quitte au 7e rang. Comme les Anglais, tout est à refaire, tout est à reconstruire pour les Français. Pour redresser la barre, la fédération de rugby va opérer des changements à commencer par la tête, afin de démarrer sur de bases solides, pour pouvoir rivaliser avec de grandes équipes comme les All Blacks.
Pour décrire cet échec, les médias utilisent des termes forts: humiliation, fessée, cauchemar. Les Anglais digèrent mal que leur équipe n’ait pas atteint au moins les quarts de finale, le minimum pour un pays hôte. Ils ont vite compris que pour rebondir, il va falloir se mettre en cause, recommencer à zéro et travailler dur. Selon "L’Équipe" toute l’organisation du rugby anglais risque d’être revue et tout le staff est invité à y contribuer. Seulement, l’avenir du sélectionneur est incertain.
Pour les Français, l’élimination est un désastre insupportable et le premier à en payer le prix c’est Philippe Saint-André, qui, non seulement assume les responsabilités mais a aussi dit "au revoir" à la sélection. On lui avait confié une 3e équipe au rang mondial et il la quitte au 7e rang. Comme les Anglais, tout est à refaire, tout est à reconstruire pour les Français. Pour redresser la barre, la fédération de rugby va opérer des changements à commencer par la tête, afin de démarrer sur de bases solides, pour pouvoir rivaliser avec de grandes équipes comme les All Blacks.