Six cas de suicide en l'espace d'un mois cela est inquiétant et aucune mesure de prévention n'est prise par l'autorité. Le dernier cas est celui d'un ancien militaire. Capitaine de son état et commandant d'un bataillon et démobilisé par la suite. Des problèmes avec son épouse serait à la base de cet acte.
Selon le père de la famille, la victime s'est enfermée dans une maison annexe de la résidence familiale où elle s'est pendue à l'aide d'une corde. Cette source tout comme le chef du quartier disent ignorer les motifs de l'acte. La victime, qui laisse trois enfants, était un démobilisé de l'armée régulière. Il s'agit du troisième suicide par pendaison enregistré dans Bukavu depuis deux semaines.
Le 3 octobre dernier c'est un étudiant en médecine qui a mis fin à ses jours pour une dispute avec sa copine. A la place de la corde, sa propre cravate a fait l'affaire. Le 5 octobre 2008, un jeune taximan de vingt cinq ans a choisi la même voie pour une affaire de fiançailles non réussies.
Tuer sa belle-mère pour des problèmes dans le couple.
Pour des problèmes avec son mari, fils unique de surcroît, une jeune femme de vingt cinq ans a, par plusieurs reprises, tenté de tuer sa belle-mère. Elle avait déjà étranglé, sans succès, la victime il y a quelques mois lors d'un deuil chez des voisins. La jeune femme a mortellement éventré sa belle-mère le 15 novembre. Les faits se sont passés dans la commune populeuse de Kadutu au quartier Kasali, à Bukavu. Selon le chef de ce quartier, Pascal Mazinge, la jeune femme qui ne s'entendait pas avec sa belle-famille, était séparée de son mari depuis un mois. Et c'est en voulant mettre fin à la vie de son mari qu'elle s'est rendue dans la famille de celui-ci, où elle a dû poignarder à mort la sa belle-mère, âgée de cinquante sept ans. Celle-ci a été dépêchée à l'hôpital où elle rendra l'âme le lendemain matin. Selon la police, la jeune femme a été retrouvée cachée chez une de ses amies.
Causes du suicide à Bukavu : la corde du pendu et la pauvreté.
Le centre neuropsychiatrique, par le biais de son directeur a tenté de donner diverses raisons qui expliqueraient ce type de comportement. Il y a d'abord, dit le docteur Eric KWAKYA, la situation socio économique instable et le traumatisme lié à la longue période de conflits dans la région. Les films qu'on regarde ont aussi une part dans cette situation. La criminalité et la pauvreté sont en hausse dans la ville de Bukavu, notent observateurs avertis. Loin de la ville, le trafic de la corde ayant servi à la pendaison est aussi pointé du doigt. On dit dans ces coins que la corde du pendu coûte très chère car recherchée pour ses pouvoirs présumés par ceux qui pratiquent le mysticisme.
Selon le père de la famille, la victime s'est enfermée dans une maison annexe de la résidence familiale où elle s'est pendue à l'aide d'une corde. Cette source tout comme le chef du quartier disent ignorer les motifs de l'acte. La victime, qui laisse trois enfants, était un démobilisé de l'armée régulière. Il s'agit du troisième suicide par pendaison enregistré dans Bukavu depuis deux semaines.
Le 3 octobre dernier c'est un étudiant en médecine qui a mis fin à ses jours pour une dispute avec sa copine. A la place de la corde, sa propre cravate a fait l'affaire. Le 5 octobre 2008, un jeune taximan de vingt cinq ans a choisi la même voie pour une affaire de fiançailles non réussies.
Tuer sa belle-mère pour des problèmes dans le couple.
Pour des problèmes avec son mari, fils unique de surcroît, une jeune femme de vingt cinq ans a, par plusieurs reprises, tenté de tuer sa belle-mère. Elle avait déjà étranglé, sans succès, la victime il y a quelques mois lors d'un deuil chez des voisins. La jeune femme a mortellement éventré sa belle-mère le 15 novembre. Les faits se sont passés dans la commune populeuse de Kadutu au quartier Kasali, à Bukavu. Selon le chef de ce quartier, Pascal Mazinge, la jeune femme qui ne s'entendait pas avec sa belle-famille, était séparée de son mari depuis un mois. Et c'est en voulant mettre fin à la vie de son mari qu'elle s'est rendue dans la famille de celui-ci, où elle a dû poignarder à mort la sa belle-mère, âgée de cinquante sept ans. Celle-ci a été dépêchée à l'hôpital où elle rendra l'âme le lendemain matin. Selon la police, la jeune femme a été retrouvée cachée chez une de ses amies.
Causes du suicide à Bukavu : la corde du pendu et la pauvreté.
Le centre neuropsychiatrique, par le biais de son directeur a tenté de donner diverses raisons qui expliqueraient ce type de comportement. Il y a d'abord, dit le docteur Eric KWAKYA, la situation socio économique instable et le traumatisme lié à la longue période de conflits dans la région. Les films qu'on regarde ont aussi une part dans cette situation. La criminalité et la pauvreté sont en hausse dans la ville de Bukavu, notent observateurs avertis. Loin de la ville, le trafic de la corde ayant servi à la pendaison est aussi pointé du doigt. On dit dans ces coins que la corde du pendu coûte très chère car recherchée pour ses pouvoirs présumés par ceux qui pratiquent le mysticisme.
Les dernières actus du Gabon
