De nombreux dirigeants politiques ont réussi à travers l’histoire, à changer des sociétés entières, faire croire en des idéologies, mener des révolutions… tout ça grâce à leurs qualités de communicants, des qualités qui, il faut le dire, ont participé en grande partie à faire de la communication ce qu’elle est aujourd’hui : une science, mais cette même histoire nous fournit beaucoup d’exemples qui démontrent les erreurs de communication causées par l’ignorance des lignes à respecter.
Les échecs en communication ne sont pas toujours visibles par le grand public car leurs effets sont très difficiles à percevoir. Si on prend l’exemple des consultants en communication dont le rôle consiste généralement à guider les choix de leurs clients pour des objectifs bien précis, dans le domaine financier, domaine de l’image, domaine de la publicité…etc. La mission du communicant ne doit jamais être de trouver un bon moyen de communiquer mais de trouver le meilleur moyen, et l’échec à ce niveau est toujours masqué par le fait que la plupart des publicités ou des messages diffusés permettent d’obtenir des résultats plus ou moins positifs mais la question est de savoir si, par exemple, ces résultats correspondent au potentiel réel de l’entreprise ? Est ce que les messages ont touché tous les segments souhaités ? Dans la plupart des cas les demandeurs de conseil ne sont pas en mesure de répondre à ce genre de questions et sont forcement victimes du manque de compétence de leurs conseillers.
Le métier de communicant souffre beaucoup de l’amalgame qui consiste à le confondre avec toutes les formes de communication que les humains ont appris à maitriser dans la vie quotidienne, ainsi le simple bon usage de la langue est pour certain assez encourageant pour se lancer dans un domaine qui nécessite des années d’études et de recherches !
Les échecs en communication ne sont pas toujours visibles par le grand public car leurs effets sont très difficiles à percevoir. Si on prend l’exemple des consultants en communication dont le rôle consiste généralement à guider les choix de leurs clients pour des objectifs bien précis, dans le domaine financier, domaine de l’image, domaine de la publicité…etc. La mission du communicant ne doit jamais être de trouver un bon moyen de communiquer mais de trouver le meilleur moyen, et l’échec à ce niveau est toujours masqué par le fait que la plupart des publicités ou des messages diffusés permettent d’obtenir des résultats plus ou moins positifs mais la question est de savoir si, par exemple, ces résultats correspondent au potentiel réel de l’entreprise ? Est ce que les messages ont touché tous les segments souhaités ? Dans la plupart des cas les demandeurs de conseil ne sont pas en mesure de répondre à ce genre de questions et sont forcement victimes du manque de compétence de leurs conseillers.
Le métier de communicant souffre beaucoup de l’amalgame qui consiste à le confondre avec toutes les formes de communication que les humains ont appris à maitriser dans la vie quotidienne, ainsi le simple bon usage de la langue est pour certain assez encourageant pour se lancer dans un domaine qui nécessite des années d’études et de recherches !