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Le gouvernement gambien n’a accepté que 93 des 171 recommandations émises dans le cadre de son Examen périodique universel (EPU) aux Nations unies, à Genève.
"Le nombre élevé de refus sur des questions cruciales en matière de droits humains montre que le gouvernement est peu disposé à remédier à la situation déplorable des droits humains - et notamment aux restrictions injustifiées au droit à la liberté d'expression, aux disparitions forcées et au recours à la torture pour étouffer l’opposition".
"Les défenseurs des droits humains, journalistes et personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexuées sont pris pour cibles, et la situation des droits humains en Gambie continuera à se dégrader à moins que la communauté internationale ne s'emploie à inciter la Gambie à adhérer véritablement aux recommandations qu’elle a rejetées".
"La Gambie doit garantir que les droits de la défense des accusés soient respectés. Elle doit coopérer avec la communauté internationale et diligenter dans les meilleurs délais des enquêtes impartiales et indépendantes sur les événements ayant mené au coup d’État et sur la réaction gouvernementale consécutive qui a débouché sur ces arrestations et incarcérations", a déclaré Sabrina Mahtani, spécialiste de l’Afrique de l’Ouest à Amnesty International.
Le 26 mars 2015, le Conseil des droits de l’homme a adopté les conclusions de l’Examen périodique universel sur la Gambie. Le rapport comprend un résumé du dialogue interactif et la liste des recommandations formulées par d’autres États.
"Le nombre élevé de refus sur des questions cruciales en matière de droits humains montre que le gouvernement est peu disposé à remédier à la situation déplorable des droits humains - et notamment aux restrictions injustifiées au droit à la liberté d'expression, aux disparitions forcées et au recours à la torture pour étouffer l’opposition".
"Les défenseurs des droits humains, journalistes et personnes lesbiennes, gays, bisexuelles, transgenres et intersexuées sont pris pour cibles, et la situation des droits humains en Gambie continuera à se dégrader à moins que la communauté internationale ne s'emploie à inciter la Gambie à adhérer véritablement aux recommandations qu’elle a rejetées".
"La Gambie doit garantir que les droits de la défense des accusés soient respectés. Elle doit coopérer avec la communauté internationale et diligenter dans les meilleurs délais des enquêtes impartiales et indépendantes sur les événements ayant mené au coup d’État et sur la réaction gouvernementale consécutive qui a débouché sur ces arrestations et incarcérations", a déclaré Sabrina Mahtani, spécialiste de l’Afrique de l’Ouest à Amnesty International.
Le 26 mars 2015, le Conseil des droits de l’homme a adopté les conclusions de l’Examen périodique universel sur la Gambie. Le rapport comprend un résumé du dialogue interactif et la liste des recommandations formulées par d’autres États.