L'histoire de la vengeance de la cousine Bette contre la famille du Baron Hulot
Ce roman de Balzac a été publié en feuilleton dans le Constitutionnel, entre le 8 octobre 1846 et le 3 décembre 1846. Puis il est paru, en volume, en 1848, associé avec le Cousin Pons ; l’ensemble étant intitulé les Parents pauvres. La cousine Bette fait partie à l’intérieur des Etudes de moeurs, des scènes de la vie parisienne.
Lisbeth Fischer, dite Bette, une vieille fille laide et acariâtre, vit dans l’ombre de sa famille, notamment de sa cousine Adeline; cette dernière étant l’épouse du baron Hulot d’Ervy. Malgré ce beau mariage, Adeline vit dans la gêne et ne sait comment doter sa fille Hortense. Elle demande son aide au beau-père de son fils, Crevel, un ancien parfumeur parvenu qui, séduit par sa beauté, lui offre de l’argent en échange de ses faveurs. Scandalisée, elle refuse. Crevel lui révèle alors la vie de débauché de son mari qui dilapide sa fortune pour entretenir des courtisanes.
D’autre part, Bette a pris sous son aile un jeune artiste polonais nommé Wenceslas Steinbock vivant dans la misère, au point de vouloir mettre fin à ses jours, Bette finit par avoir un oeil sur lui "avec la tendresse d’une mère, la jalousie d’une femme et l’esprit d’un dragon". Elle confie son secret à Hortense, qui en tombera amoureuse. Le baron Hulot s’emploie à faire la fortune du jeune homme et lui accorde la main de sa fille. Rejeté par sa maîtresse Josépha, il s’est entiché d’une superbe créole, Valérie Marneffe, vivant chez Bette. C’est par elle que celle-ci apprend le projet de mariage entre Hortense et Wenceslas. Excissevement en colère, Bette jure de mener la famille Hulot à sa perte. Valérie, avec qui elle scelle un pacte, sera l’instrument de sa vengeance.
Dénuée de tout scrupule, aidée par un mari complaisant, celle-ci entreprend de ruiner le baron et l’humilie en devenant aussi la maîtresse de Crevel et en s’affichant avec un ancien amant, Montès, un riche Brésilien. Enfin, pour parachever la vengeance de Bette, elle séduit Wenceslas qui quitte sa femme pour elle. Afin de financer ses folies, Hulot a expédié en Algérie l’oncle de sa femme pour qu’il y monte des affaires douteuses. Mises au jour, celles-ci risquent de susciter un scandale. Pour sauver son mari et payer ses dettes, Adeline s’offre "comme une prostituée" à Crevel qui la repousse. Atteint par le déshonneur, le maréchal Hulot décède…
Mais cette union déclenche la colère de la Cousine Bette. Elle est secrètement jalouse, depuis toujours, de sa cousine Adeline. Pour se venger, elle s’associe à Valérie Marneffe, sa séduisante voisine.La cousine Bette confie à cette dernière la mission de séduire le baron libertin et de ruiner la famille Hulot. La courtisane se fait meubler au frais du baron un superbe appartement et s’offre à lui le soir même du mariage de sa fille Hortense.
Lisbeth Fischer, dite Bette, une vieille fille laide et acariâtre, vit dans l’ombre de sa famille, notamment de sa cousine Adeline; cette dernière étant l’épouse du baron Hulot d’Ervy. Malgré ce beau mariage, Adeline vit dans la gêne et ne sait comment doter sa fille Hortense. Elle demande son aide au beau-père de son fils, Crevel, un ancien parfumeur parvenu qui, séduit par sa beauté, lui offre de l’argent en échange de ses faveurs. Scandalisée, elle refuse. Crevel lui révèle alors la vie de débauché de son mari qui dilapide sa fortune pour entretenir des courtisanes.
D’autre part, Bette a pris sous son aile un jeune artiste polonais nommé Wenceslas Steinbock vivant dans la misère, au point de vouloir mettre fin à ses jours, Bette finit par avoir un oeil sur lui "avec la tendresse d’une mère, la jalousie d’une femme et l’esprit d’un dragon". Elle confie son secret à Hortense, qui en tombera amoureuse. Le baron Hulot s’emploie à faire la fortune du jeune homme et lui accorde la main de sa fille. Rejeté par sa maîtresse Josépha, il s’est entiché d’une superbe créole, Valérie Marneffe, vivant chez Bette. C’est par elle que celle-ci apprend le projet de mariage entre Hortense et Wenceslas. Excissevement en colère, Bette jure de mener la famille Hulot à sa perte. Valérie, avec qui elle scelle un pacte, sera l’instrument de sa vengeance.
Dénuée de tout scrupule, aidée par un mari complaisant, celle-ci entreprend de ruiner le baron et l’humilie en devenant aussi la maîtresse de Crevel et en s’affichant avec un ancien amant, Montès, un riche Brésilien. Enfin, pour parachever la vengeance de Bette, elle séduit Wenceslas qui quitte sa femme pour elle. Afin de financer ses folies, Hulot a expédié en Algérie l’oncle de sa femme pour qu’il y monte des affaires douteuses. Mises au jour, celles-ci risquent de susciter un scandale. Pour sauver son mari et payer ses dettes, Adeline s’offre "comme une prostituée" à Crevel qui la repousse. Atteint par le déshonneur, le maréchal Hulot décède…
Mais cette union déclenche la colère de la Cousine Bette. Elle est secrètement jalouse, depuis toujours, de sa cousine Adeline. Pour se venger, elle s’associe à Valérie Marneffe, sa séduisante voisine.La cousine Bette confie à cette dernière la mission de séduire le baron libertin et de ruiner la famille Hulot. La courtisane se fait meubler au frais du baron un superbe appartement et s’offre à lui le soir même du mariage de sa fille Hortense.
“Les sentiments nobles poussés à l'absolu produisent des résultats semblables à ceux des plus grands vices”
Lisbeth Fischer, dite Bette, une vieille fille laide et acariâtre, vit dans l’ombre de sa famille.mp3 (1.17 Mo)
Nous retrouvons les personnages en 1841. Trois années ont passé. Les efforts conjugués de la Cousine Bette et de Valérie Marneffe sont parvenus à mettre en difficulté financière la famille Hulot. Le baron Hulot délaisse de plus en plus son épouse et ne sait freiner les ardeurs dépensières de sa maîtresse. Cette dernière est aussi devenue secrètement la maîtresse de Célestin Crevel, maintenant maire d’arrondissement, et très fier d’être l’amant de cette belle courtisane. Cette dernière, grâce à la prodigalité de ses amants et aux conseils de la Cousine Bette se constitue progressivement une fortune.
Durant l’été 1841, tout s’accélère. Valérie Marneffe retrouve le baron Montès, un de ses anciens amants revenu du Brésil et renoue avec lui. Insatiable, elle séduit également Wenceslas Steinbock, le mari d’Hortense et se retrouve ainsi fièrement courtisée par 4 amants : le baron Hulot, ,e maire Célestin Crevel, le baron Montès et le mari d’Hortense.
Désespérée, Hortense quitte son mari et s’en retourne chez sa mère.
Non contente d’avoir provoqué la chute de la maison Hulot, la Cousine Bette a décidé d’épouser le Maréchal Hulot, le frère ainé du baron. Elle espère ainsi obtenir une réussite sociale supérieure à celle de sa cousine Adeline, dont elle est toujours secrètement jalouse.
Hélas le Maréchal Hulot, anéanti par la souffrance que lui cause la déchéance et la ruine de son frère, meurt avant le mariage. Le baron Hulot, lui, obtient le secours inattendu d’une de ses anciennes maîtresses et quitte sa famille.
Presque deux ans ont à nouveau passé. La famille Hulot semble avoir retrouvé sa sérénité. En l’absence du père, c’est Victorin, son fils qui règne maintenant sur la famille. Il est entouré de sa mère Adeline, de sa sour Hortense, et de la cousine Bette. Mais l’accalmie ne saurait durer. Une nouvelle crise éclate à l’annonce du mariage de Célestin Crevel, qui est aussi le beau-père de Victorin, et de Valérie Marneffe. Outrée, la famille refuse d’assister au mariage de Crevel avec cette aventurière.
Une incroyable machination parviendra à provoquer la mort de Crevel et de Valérie. La famille Hulot peut enfin hériter de l’immense fortune laissée par ce couple maudit.
La baronne qui a de la suite dans les idées, parvient à retrouver la trace de son mari et à le convaincre de revenir vivre dans son foyer qui a retrouvé la prospérité.
Ne supportant pas le nouveau bonheur d’Adeline, la cousine Bette meurt sans avoir pu avouer ni assouvir sa haine.
Mais le baron n’est pas guéri. Il se laisse à nouveau séduire par une jeune employée de cuisine, ce qui provoque la mort de son épouse.
Dès qu’il est veuf, le baron n’a qu’une hâte : épouser la jeune servante.
Durant l’été 1841, tout s’accélère. Valérie Marneffe retrouve le baron Montès, un de ses anciens amants revenu du Brésil et renoue avec lui. Insatiable, elle séduit également Wenceslas Steinbock, le mari d’Hortense et se retrouve ainsi fièrement courtisée par 4 amants : le baron Hulot, ,e maire Célestin Crevel, le baron Montès et le mari d’Hortense.
Désespérée, Hortense quitte son mari et s’en retourne chez sa mère.
Non contente d’avoir provoqué la chute de la maison Hulot, la Cousine Bette a décidé d’épouser le Maréchal Hulot, le frère ainé du baron. Elle espère ainsi obtenir une réussite sociale supérieure à celle de sa cousine Adeline, dont elle est toujours secrètement jalouse.
Hélas le Maréchal Hulot, anéanti par la souffrance que lui cause la déchéance et la ruine de son frère, meurt avant le mariage. Le baron Hulot, lui, obtient le secours inattendu d’une de ses anciennes maîtresses et quitte sa famille.
Presque deux ans ont à nouveau passé. La famille Hulot semble avoir retrouvé sa sérénité. En l’absence du père, c’est Victorin, son fils qui règne maintenant sur la famille. Il est entouré de sa mère Adeline, de sa sour Hortense, et de la cousine Bette. Mais l’accalmie ne saurait durer. Une nouvelle crise éclate à l’annonce du mariage de Célestin Crevel, qui est aussi le beau-père de Victorin, et de Valérie Marneffe. Outrée, la famille refuse d’assister au mariage de Crevel avec cette aventurière.
Une incroyable machination parviendra à provoquer la mort de Crevel et de Valérie. La famille Hulot peut enfin hériter de l’immense fortune laissée par ce couple maudit.
La baronne qui a de la suite dans les idées, parvient à retrouver la trace de son mari et à le convaincre de revenir vivre dans son foyer qui a retrouvé la prospérité.
Ne supportant pas le nouveau bonheur d’Adeline, la cousine Bette meurt sans avoir pu avouer ni assouvir sa haine.
Mais le baron n’est pas guéri. Il se laisse à nouveau séduire par une jeune employée de cuisine, ce qui provoque la mort de son épouse.
Dès qu’il est veuf, le baron n’a qu’une hâte : épouser la jeune servante.