Les trente et unièmes Régates Royales de Cannes-Trophée Panerai se sont achevées samedi soir avec la remise des prix après cinq jours de courses et d’animations sur le port.
Au-delà des vainqueurs récompensés pour leur talent tactique et leurs qualités manœuvrières dans des conditions de petit temps difficiles à appréhender, ce rendez-vous cannois devenu incontournable a une nouvelle fois comblé coureurs, organisateurs, partenaires et spectateurs…tout au moins, nous l'espérons !
Soixante-dix-neuf Yachts Classiques, soixante et un Dragon étaient en course.
Tous ont fait étinceler les cuivres, briller les vernis, refléter les carènes, transpercer le clapot, griffer le ciel azuréen. Et de nouveaux yachts sont encore venus en découdre à l’image du 15mJI Mariska et du voilier de la Marine Italienne, Chaplin, preuve que les anciens restent toujours modernes…
Beau temps encore, beau temps toujours ! Le soleil était plus que généreux pour les jours à venir aussi… La faute à un bel anticyclone qui reste figé au large du golfe de Gascogne. Le Trophée Panerai a été marqué par des petites brises qui ont mis en valeur les équipages et les plus affûtés, car il fallait jouer avec le vent et les variations de brise pour tirer la quintessence de ces sublimes Yachts Classiques.
Et il a été décerné à Peter, le ketch marconi de Claudio Mealli parmi les Epoques, tandis que Chaplin s’adjugeait le prix chez les Classiques.
Au-delà des vainqueurs récompensés pour leur talent tactique et leurs qualités manœuvrières dans des conditions de petit temps difficiles à appréhender, ce rendez-vous cannois devenu incontournable a une nouvelle fois comblé coureurs, organisateurs, partenaires et spectateurs…tout au moins, nous l'espérons !
Soixante-dix-neuf Yachts Classiques, soixante et un Dragon étaient en course.
Tous ont fait étinceler les cuivres, briller les vernis, refléter les carènes, transpercer le clapot, griffer le ciel azuréen. Et de nouveaux yachts sont encore venus en découdre à l’image du 15mJI Mariska et du voilier de la Marine Italienne, Chaplin, preuve que les anciens restent toujours modernes…
Beau temps encore, beau temps toujours ! Le soleil était plus que généreux pour les jours à venir aussi… La faute à un bel anticyclone qui reste figé au large du golfe de Gascogne. Le Trophée Panerai a été marqué par des petites brises qui ont mis en valeur les équipages et les plus affûtés, car il fallait jouer avec le vent et les variations de brise pour tirer la quintessence de ces sublimes Yachts Classiques.
Et il a été décerné à Peter, le ketch marconi de Claudio Mealli parmi les Epoques, tandis que Chaplin s’adjugeait le prix chez les Classiques.