Cambodge enfant.mp3 (917.93 Ko)
Mendier ou vendre des bracelets: voilà leur quotidien. Pour ce qui est de la mendicité, tout est fait pour éveiller la compassion des touristes. Par exemple, à Siem Reap, nous avons croisé le chemin d'un adolescent avec son petit frère de deux ans dans les bras. Sur les plages de Sihanoukville, on retrouve un nombre incalculable d'enfants dans une quête effrénée aux touristes afin de leur vendre des bracelets. On peut ressentir la violence et la compétition qui règnent entre eux.
Il est important de noter que la plupart des enfants ne sont pas déclarés donc pas enregistrés auprès des administrations et au registre national. De surcroit, l'enseignement dans le pays est sous-développé, l'école est coûteuse et donc pas accessible à tous, les enfants doivent financer eux-mêmes leur uniforme et le matériel scolaire. Par conséquent, de nombreux enfants ne vont pas à l'école, ne reçoivent donc aucune instruction et ne peuvent espérer un avenir meilleur. Ce genre de "petits boulots" deviennent leur seule issue pour survivre.
A Kep, nous avons rencontré un jeune garçon, Arun, âgé de quatre ans qui, en guise d'emploi alimentaire ramasse les bouteilles en plastique sur la plage et dans les décharges publiques. Il préfère travailler seul car la compétition et la violence peuvent être rude entre les enfants de la rue. Son cas est similaire à de nombreux autres enfants orphelins ou non, il travaille pour un employeur qui pèse chaque jour sa marchandise et qui le paie une misère. Ce genre d'usurier et exploiteur nous révèle une nouvelle forme d'esclavage, alors que celui-ci est formellement interdit. Parallèlement, il existe de nombreuses ONG comme "Espoir" qui recueille ces enfants afin de les réinsérer et leur donner des opportunités d'avenir.
Il est important de noter que la plupart des enfants ne sont pas déclarés donc pas enregistrés auprès des administrations et au registre national. De surcroit, l'enseignement dans le pays est sous-développé, l'école est coûteuse et donc pas accessible à tous, les enfants doivent financer eux-mêmes leur uniforme et le matériel scolaire. Par conséquent, de nombreux enfants ne vont pas à l'école, ne reçoivent donc aucune instruction et ne peuvent espérer un avenir meilleur. Ce genre de "petits boulots" deviennent leur seule issue pour survivre.
A Kep, nous avons rencontré un jeune garçon, Arun, âgé de quatre ans qui, en guise d'emploi alimentaire ramasse les bouteilles en plastique sur la plage et dans les décharges publiques. Il préfère travailler seul car la compétition et la violence peuvent être rude entre les enfants de la rue. Son cas est similaire à de nombreux autres enfants orphelins ou non, il travaille pour un employeur qui pèse chaque jour sa marchandise et qui le paie une misère. Ce genre d'usurier et exploiteur nous révèle une nouvelle forme d'esclavage, alors que celui-ci est formellement interdit. Parallèlement, il existe de nombreuses ONG comme "Espoir" qui recueille ces enfants afin de les réinsérer et leur donner des opportunités d'avenir.