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Les quatre hommes à l'origine de l'Union pour les droits humains – une organisation indépendante créée fin mars 2013 – ont récemment été convoqués par les autorités saoudiennes pour être questionnés. Celles-ci les ont menacés de les soumettre à d'autres interrogatoires. Ils risquent d'être placés en détention à tout moment.
Abdullah Modhi al Attawi, Mohammad Aeid al Otaibi, Abdullah Faisal al Harbi et Mohammad Abdullah al Otaibi ont été accusés d'avoir fondé et promu une organisation non autorisée, et d'avoir lancé des sites internet sans autorisation.
"Aucune des charges retenues contre ces quatre hommes n'est relative à une infraction reconnue par le droit international. Les autorités ont pris des mesures à leur encontre au moment même où ils ont voulu enregistrer officiellement leur organisation. Les autorités saoudiennes doivent mettre fin à cette répression, supprimer les obstacles arbitraires empêchant l'enregistrement de l'organisation, et permettre aux militants de poursuivre leur travail légitime de défense des droits humains", a déclaré Philip Luther, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.
Abdullah Modhi al Attawi, Mohammad Aeid al Otaibi, Abdullah Faisal al Harbi et Mohammad Abdullah al Otaibi ont été accusés d'avoir fondé et promu une organisation non autorisée, et d'avoir lancé des sites internet sans autorisation.
"Aucune des charges retenues contre ces quatre hommes n'est relative à une infraction reconnue par le droit international. Les autorités ont pris des mesures à leur encontre au moment même où ils ont voulu enregistrer officiellement leur organisation. Les autorités saoudiennes doivent mettre fin à cette répression, supprimer les obstacles arbitraires empêchant l'enregistrement de l'organisation, et permettre aux militants de poursuivre leur travail légitime de défense des droits humains", a déclaré Philip Luther, directeur du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d'Amnesty International.