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Ehsan Shah Ghasemi a été condamné à mort pour avoir poignardé au cou Ali Khalili en juillet 2011, provoquant des blessures qui auraient entraîné sa mort presque trois ans plus tard, en avril 2014. La Cour suprême a confirmé l’exécution d’Ehsan Shah Ghasemi, en l’absence de tout élément décisif prouvant que les blessures causées à Ali Khalili avaient entraîné son décès. On s’attend à ce que le président de la Cour suprême iranienne approuve sa condamnation à mort dans les prochains jours.
"Ehsan Shah Ghasemi est pris au piège d’un cauchemar, et risque la potence. Sa vie repose désormais entre les mains du responsable du pouvoir judiciaire, qui doit décider s’il envoie à la mort un jeune homme condamné à l’issue d’un procès entaché de graves irrégularités", a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.
"Ehsan Shah Ghasemi est pris au piège d’un cauchemar, et risque la potence. Sa vie repose désormais entre les mains du responsable du pouvoir judiciaire, qui doit décider s’il envoie à la mort un jeune homme condamné à l’issue d’un procès entaché de graves irrégularités", a déclaré Hassiba Hadj Sahraoui, directrice adjointe du programme Afrique du Nord et Moyen-Orient d’Amnesty International.