Une cinquantaine de personnes ont été conviées à cette formation, qui s’est déroulée dans la ville de Mbalmayo, à une cinquantaine de kilomètres au sud de Yaoundé. Il s’agissait de réitérer le rôle et l’importance de l’effectivité des droits humains, dans le processus de développement. Il faudrait, pour ce faire, qu’il existe un « cadre d’expression et de participation dans lequel chaque individu voit ses droits respectés et contribue valablement au développement de son pays ». Malheureusement, pour le Comité National des Droits de l’Homme et des Liberté du (CNDHL), « l’on peut déclarer sans risque de se tromper que ce cadre d’expression propice à l’exercice de ces droits n’est pas pleinement effectif », au Cameroun. Le CNDHL pense même que « la réalisation des droits humains s’assimile à la charité, à des gratifications faites aux citoyens et non à une obligation, au devoir qui incombe aux personnes en charge de la réalisation de ces droits ».
Pour expliquer cette situation, qui est comparable à celle de nombres de pays africains, le CNDHL culpabilise la méthode adoptée dans la réalisation des droits de l’homme dans ces Etats. « En apportant des réponses vagues aux problèmes des citoyens sans se rapprocher au préalable de ces derniers, les personnes en charge des droits de l’homme agissent à contre courant ». Il est donc nécessaire « de mettre l’homme au centre du processus de développement ». Une approche que prône le HRBA et qui refuse tout « compromis entre la nécessité de se développer et l’exigence de garantir les droits », tout comme elle « n’admet pas une compatibilité de la violation des droits et le développement ». Elle garantit surtout « l’existence d’institutions adéquates propices à la protection des droits de l’homme, à leur respect et qui permettent à l’être humain de prendre des initiatives pour réaliser son bien être ».
Pour expliquer cette situation, qui est comparable à celle de nombres de pays africains, le CNDHL culpabilise la méthode adoptée dans la réalisation des droits de l’homme dans ces Etats. « En apportant des réponses vagues aux problèmes des citoyens sans se rapprocher au préalable de ces derniers, les personnes en charge des droits de l’homme agissent à contre courant ». Il est donc nécessaire « de mettre l’homme au centre du processus de développement ». Une approche que prône le HRBA et qui refuse tout « compromis entre la nécessité de se développer et l’exigence de garantir les droits », tout comme elle « n’admet pas une compatibilité de la violation des droits et le développement ». Elle garantit surtout « l’existence d’institutions adéquates propices à la protection des droits de l’homme, à leur respect et qui permettent à l’être humain de prendre des initiatives pour réaliser son bien être ».
Urgences
Pour respecter ces standards auxquels il adhère, le CNDHL préconise que le Cameroun cherche « à supprimer l’inadéquation qu’il y a entre la reconnaissance des textes des droits de l’homme, la régression du bien être et du développement ». Le Comité National des Droits de l’Homme et des Libertés souhaite une plus grande volonté politique, pour « une meilleure prise en compte des politiques multisectorielles de développement préconisées par les Nation Unies et les principaux bailleurs de fonds ». Une des solutions serait « d’étendre les principes et techniques de l’approche basée sur les droits humains à tous les responsables institutionnels concepteurs des politiques et programmes de développement, sans oublier les acteurs de al société civile chargés de la surveillance des politiques et de leur impact dans l’exercice des droits humains ».
Les séminaristes ont donc pu s’imprégner des mécanismes et instruments internationaux et régionaux, relatifs aux droits de l’homme ; de la ratification et la soumission des rapports, observation et conclusions Oranges de traités et procédures spéciales ; de l’introduction de l’approche fondée sur les droits de l’homme ; de l’analyse causale fondée sur les droits de l’homme ; l’analyse pays fondée sur les droits de l’homme ; les droits de l’homme et OMD ; l’analyse des rôles et capacités ; droit de l’homme et réduction de la pauvreté ; entre autres. De quoi leur donner une meilleure compréhension de l’approche de coopération au développement fondé sur les droits de l’homme. ils ont, en outre, fait l’inventaire des bonnes pratiques d’intégration des droits de l’homme, dans la coopération de développement et identifié les stratégies d’application de l’approche au sein des différentes institutions gouvernementales du pays et dans les organisations de la société civile.
Pour respecter ces standards auxquels il adhère, le CNDHL préconise que le Cameroun cherche « à supprimer l’inadéquation qu’il y a entre la reconnaissance des textes des droits de l’homme, la régression du bien être et du développement ». Le Comité National des Droits de l’Homme et des Libertés souhaite une plus grande volonté politique, pour « une meilleure prise en compte des politiques multisectorielles de développement préconisées par les Nation Unies et les principaux bailleurs de fonds ». Une des solutions serait « d’étendre les principes et techniques de l’approche basée sur les droits humains à tous les responsables institutionnels concepteurs des politiques et programmes de développement, sans oublier les acteurs de al société civile chargés de la surveillance des politiques et de leur impact dans l’exercice des droits humains ».
Les séminaristes ont donc pu s’imprégner des mécanismes et instruments internationaux et régionaux, relatifs aux droits de l’homme ; de la ratification et la soumission des rapports, observation et conclusions Oranges de traités et procédures spéciales ; de l’introduction de l’approche fondée sur les droits de l’homme ; de l’analyse causale fondée sur les droits de l’homme ; l’analyse pays fondée sur les droits de l’homme ; les droits de l’homme et OMD ; l’analyse des rôles et capacités ; droit de l’homme et réduction de la pauvreté ; entre autres. De quoi leur donner une meilleure compréhension de l’approche de coopération au développement fondé sur les droits de l’homme. ils ont, en outre, fait l’inventaire des bonnes pratiques d’intégration des droits de l’homme, dans la coopération de développement et identifié les stratégies d’application de l’approche au sein des différentes institutions gouvernementales du pays et dans les organisations de la société civile.