Le Président Wade et son épouse en compagnie du Premier ministre. (C) Elhadji Babacar MBENGUE
41 ministres dont 13 ministres d'État, 3 ministres délégués et 25 ministres simples, telle est la composition du nouveau gouvernement que devra continuer à diriger le Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye. Avec 12 femmes ministres dont 6 nouvellement installées dans ces fonctions, on assiste au renforcement de la présence féminine.
Au-delà, des dames Awa Ndiaye, Innocence Ntab et Aminata Lo Dieng qui reviennent ainsi aux affaires, d’autres qui font la découverte du gouvernement. Il s’agit de Nafi Diouf Ngom, ministre des Transports terrestres et des Transports ferroviaires, Seynabou Ly Mbacké, ministre de l’Entreprenariat féminin et de la micro finance, Fatou Blondin Ndiaye Diop, ministre chargé des Technologies, de l’Information et de la Communication, Khady Mbow, ministre de l’Hygiène publique et du Cadre de vie, Mame Astou Guèye, ministre déléguée auprès du ministre de la Coopération internationale, chargée de la Coopération décentralisée et Safiétou Sy, ministre déléguée auprès du ministre de la justice, chargée des Droits humains. S’y ajoutent d’autres noms que les Sénégalais découvrent pour la première fois notamment celui de Louis Seck, ministre des Énergies renouvelables.
Au-delà, des dames Awa Ndiaye, Innocence Ntab et Aminata Lo Dieng qui reviennent ainsi aux affaires, d’autres qui font la découverte du gouvernement. Il s’agit de Nafi Diouf Ngom, ministre des Transports terrestres et des Transports ferroviaires, Seynabou Ly Mbacké, ministre de l’Entreprenariat féminin et de la micro finance, Fatou Blondin Ndiaye Diop, ministre chargé des Technologies, de l’Information et de la Communication, Khady Mbow, ministre de l’Hygiène publique et du Cadre de vie, Mame Astou Guèye, ministre déléguée auprès du ministre de la Coopération internationale, chargée de la Coopération décentralisée et Safiétou Sy, ministre déléguée auprès du ministre de la justice, chargée des Droits humains. S’y ajoutent d’autres noms que les Sénégalais découvrent pour la première fois notamment celui de Louis Seck, ministre des Énergies renouvelables.
Une redistribution des portefeuilles
Selon Moustapha Guirassy, ministre de la Communication et des Télécommunications, porte parole du gouvernement, ce remaniement procède du souci du chef de l'État d’apporter des réponses adéquates aux questions actuelles. Au surplus, il justifie la forte présence des femmes dans le gouvernement par leur poids démographique. «On doit remercier le Président Wade pour cette initiative» a-t-il ajouté.
Par ailleurs, l’on note le départ de Abdourahim Agne du ministère des Télécommunications, des TIC, des Transports terrestres et des Transports ferroviaires. Un pan de ce ministère est confié à Nafissatou Diouf Ngom qui a en charge les Transports terrestres et les Transports ferroviaires. Les Technologies de l’Information et de la Communication étant la dénomination du ministère confié à Fatou Blondin Ndiaye Diop.
Dans le même élan, nous citons Mamadou Lamine Keïta qui se contente du ministère de la Jeunesse. Le ministère du Sport revenant à l’ancien ministre des Affaires sociales et des Relations avec les institutions.
Environ, 14 ministères sont concernés par cette redistribution des services.
Au-delà du souci de cohérence et de rationalisation que le porte parole du gouvernement trouve à ce remaniement, l’opinion nationale s’interroge encore sur son opportunité. Des arguments suspicieux de recasement de personnel politique sont avancés de tous bords. D’aucuns pensent que ce remaniement en est un de plus !
Dans ce Sénégal qui se place déjà dans la perspective des élections présidentielles de 2012 aucun acte du régime en place ne peut être perçu comme gratuit. Quoi de plus compréhensible en politique ! Toutefois, les prochains jours ne manqueront pas de nous édifier sur les véritables raisons de cet énième remaniement.
Par ailleurs, l’on note le départ de Abdourahim Agne du ministère des Télécommunications, des TIC, des Transports terrestres et des Transports ferroviaires. Un pan de ce ministère est confié à Nafissatou Diouf Ngom qui a en charge les Transports terrestres et les Transports ferroviaires. Les Technologies de l’Information et de la Communication étant la dénomination du ministère confié à Fatou Blondin Ndiaye Diop.
Dans le même élan, nous citons Mamadou Lamine Keïta qui se contente du ministère de la Jeunesse. Le ministère du Sport revenant à l’ancien ministre des Affaires sociales et des Relations avec les institutions.
Environ, 14 ministères sont concernés par cette redistribution des services.
Au-delà du souci de cohérence et de rationalisation que le porte parole du gouvernement trouve à ce remaniement, l’opinion nationale s’interroge encore sur son opportunité. Des arguments suspicieux de recasement de personnel politique sont avancés de tous bords. D’aucuns pensent que ce remaniement en est un de plus !
Dans ce Sénégal qui se place déjà dans la perspective des élections présidentielles de 2012 aucun acte du régime en place ne peut être perçu comme gratuit. Quoi de plus compréhensible en politique ! Toutefois, les prochains jours ne manqueront pas de nous édifier sur les véritables raisons de cet énième remaniement.