Les vrais chauffards, ou le vrai danger
Alors que leur acharnement à piéger l'usager moyen, qui va être impitoyablement poursuivi et puni parce qu'il a été flashé à 54 km/h au lieu de 50, réduit les forces de l'ordre à un rôle de percepteur, on oublie qu'il y a, dans le peuple considéré dans son ENSEMBLE comme délinquant, de VRAIS délinquants, sans foi, sans loi (tant celle appliquée puisse paraître absconse dans ses paradoxes et jouer en faveur de ces délinquants) et sans respect tout court.
Le fait de ne pas respecter un uniforme, une injonction faite par un représentant des forces de l'ordre, présuppose déjà une culture de l'irrespect en général. En effet, un usager normal, même s'il se sait coupable, obtempèrera. Le fait de se déplacer à 141 km/h sur une route limitée à 90 km/h est, en plus, de la jobardise pure. Le tout souligné par le fait que le chauffard, âgé d'une vingtaine d'années, s'est "assis" sur le permis de conduire : soit il l'a et était en période probatoire, soit il ne l'a pas.
Diabloto.info dénone les attitudes parfois peu démocratiques ou en tout cas hypocrites que leur hiérarchie, à très haut niveau, fait prendre aux policiers et gendarmes sur le terrain, pour ne pas manquer de les respecter en tant que personnes pouvant être amené à mettre leur vie en danger pour en protéger d'autres. "Nous ne pouvons qu'être consternés par la perte de ce Gendarme de 54 ans, tué le plus bêtement du monde : par un irresponsable égoïste et je m'en-foutiste. Qu'elle que soit la punition qui lui sera infligée - s'il n'a pas des parents influents - ça ne ramènera pas un homme à sa vie, à sa famille."
Maintenant, ce fait est un de plus parmi ceux qui devraient impliquer les politiques dans la réalité. Contrairement aux affirmations malsaines d'un responsable politique, un Sachant, à propos de la sécurité sur les routes, qui affirme que "tout a été fait ; ne reste plus que l'aggravation de la répression permanente et à chaque instant".
C'est bien sûr prendre les Français pour plus idiots qu'ils ne se ressentent eux-mêmes (et tout est fait, par l'aliénation de masse, pour que le seuil inférieur ne soit jamais dépassé !) : c'est ce même genre de personnage qui jette en pâture à la presse Béni-oui-oui, qui s'en repaît aussitôt - que telle Ferrari, immatriculée à l'étranger, a été flashée à 188 km/h sur telle autoroute, pour bien faire comprendre à la populace qu'il ne faut pas qu'elle fasse pareil le jour, ou le siècle, où elle-même roulera partout en Ferrari, car la "vitesse tue". Le même personnage ne dira jamais la vérité vraie qui est que ce n'est pas la vitesse qui tue, mais son utilisation imbécile, et aussi sûrement que l'imbécilité, dans un monde juste, devrait venir à bout des Sachants.
Ainsi, de par une politique du Tout-radar répressif, nourrie et donc renforcée à chaque nouvel accident (ou meurtre par destination dans le cas de l'objet initial de cet article), on en arrive à des excès tels que la multiplication à l'infini de gens qui, puisqu'aucune tolérance n'existe, adoptent une nouvelle philosophie morbide qui consiste à se dire que la moindre chose est interdite et réprimée vexatoirement, alors autant ne plus rien respecter.
Et c'est d'autant plus faciles pour eux, qu'hormis la vitesse, rien n'est contrôlé en France. Les autres infractions ne sont en effet que très peu rentables pour des gouvernements assoiffés d'argent que l'Etat gaspille sans vergogne, et que ces infractions, base de l'éducation juste par la punition juste, nécessiterait du personnel. Et le personnel, dans la Police et dans la Gendarmerie manque cruellement à l'équilibre de la société : c'est pourquoi, les Sachants en suppriment 8.000 postes !
Désormais, 5 à 8 millions d'automobilistes sont punis chaque année, fortement, mais pour des faits globalement mineurs.
Mais 2 à 3 millions roulent désormais aussi sans permis, sans assurance et de plus en plus dans des voitures volées (les juges, qui SONT la loi comme nous l'a confié un d'entre-eux, les nomment "empruntées", car le frisson de la délinquance leur donne envie de participer eux aussi à la modernité). Dans ces conditions, bien sûr plus de drames sont inévitables.
Heureusement, il y a LA solution : le radar, si cher aux Sachants-radaristes, et si chers (coûteux) au contribuable qui paie à la fois l'appareil (souvent construit à l'étranger mais heureusement distribué par l'ami français). Le délit est d'une certaine façon ainsi encouragé.
Répétons donc que tant que le Code de la Route ne sera pas appliqué intelligemment, tant que les policiers seront habillés en percepteur (et donc non respectés), tant que ces mêmes policiers, les rares fois où ils font une opération sur le terrain, n'auront pas le matériel et la formation des Polices de la Route des pays modernes et donc moins dangereux (voir notre article sur le mortalité sur route en Europe), alors la France restera parmi les cancres.
Pour conclure, un constat s'impose au-delà de la route : la France bat des records d'accidents de toutes sortes (ménagers, travail, incendies, froid) et de suicides (vice-record mondial), et les Sachants continuent dans leur aveuglement méprisant : qu'ils n'aiment pas le peuple qui les élit ou leur garantit des carrières en or, est certain ; mais c'est une chose qui pourrait, dans leur propre intérêt, être mieux évaluée.
Une bonne instruction civique pour tous, au lieu des atermoiements mélangistes et aculturels, serait déjà une preuve de respect envers la population, de très jeune à moins jeune : déjà, l'école, elle aussi en perdition bien sûr, prouverait à ceux-ci sinon à ceux-là, qu'elle sert quand même un peu à quelque chose, puisqu'enfin on y apprendrait la NOTION DE RESPECT.
Et pour les forces de l'ordre, en pratique, ce serait plus clair : ils discerneraient mieux les vrais tarés, au comportement dangereux, et ne s'opposeraient pas alors à eux défendus seulement de leur propre corps.
Le fait de ne pas respecter un uniforme, une injonction faite par un représentant des forces de l'ordre, présuppose déjà une culture de l'irrespect en général. En effet, un usager normal, même s'il se sait coupable, obtempèrera. Le fait de se déplacer à 141 km/h sur une route limitée à 90 km/h est, en plus, de la jobardise pure. Le tout souligné par le fait que le chauffard, âgé d'une vingtaine d'années, s'est "assis" sur le permis de conduire : soit il l'a et était en période probatoire, soit il ne l'a pas.
Diabloto.info dénone les attitudes parfois peu démocratiques ou en tout cas hypocrites que leur hiérarchie, à très haut niveau, fait prendre aux policiers et gendarmes sur le terrain, pour ne pas manquer de les respecter en tant que personnes pouvant être amené à mettre leur vie en danger pour en protéger d'autres. "Nous ne pouvons qu'être consternés par la perte de ce Gendarme de 54 ans, tué le plus bêtement du monde : par un irresponsable égoïste et je m'en-foutiste. Qu'elle que soit la punition qui lui sera infligée - s'il n'a pas des parents influents - ça ne ramènera pas un homme à sa vie, à sa famille."
Maintenant, ce fait est un de plus parmi ceux qui devraient impliquer les politiques dans la réalité. Contrairement aux affirmations malsaines d'un responsable politique, un Sachant, à propos de la sécurité sur les routes, qui affirme que "tout a été fait ; ne reste plus que l'aggravation de la répression permanente et à chaque instant".
C'est bien sûr prendre les Français pour plus idiots qu'ils ne se ressentent eux-mêmes (et tout est fait, par l'aliénation de masse, pour que le seuil inférieur ne soit jamais dépassé !) : c'est ce même genre de personnage qui jette en pâture à la presse Béni-oui-oui, qui s'en repaît aussitôt - que telle Ferrari, immatriculée à l'étranger, a été flashée à 188 km/h sur telle autoroute, pour bien faire comprendre à la populace qu'il ne faut pas qu'elle fasse pareil le jour, ou le siècle, où elle-même roulera partout en Ferrari, car la "vitesse tue". Le même personnage ne dira jamais la vérité vraie qui est que ce n'est pas la vitesse qui tue, mais son utilisation imbécile, et aussi sûrement que l'imbécilité, dans un monde juste, devrait venir à bout des Sachants.
Ainsi, de par une politique du Tout-radar répressif, nourrie et donc renforcée à chaque nouvel accident (ou meurtre par destination dans le cas de l'objet initial de cet article), on en arrive à des excès tels que la multiplication à l'infini de gens qui, puisqu'aucune tolérance n'existe, adoptent une nouvelle philosophie morbide qui consiste à se dire que la moindre chose est interdite et réprimée vexatoirement, alors autant ne plus rien respecter.
Et c'est d'autant plus faciles pour eux, qu'hormis la vitesse, rien n'est contrôlé en France. Les autres infractions ne sont en effet que très peu rentables pour des gouvernements assoiffés d'argent que l'Etat gaspille sans vergogne, et que ces infractions, base de l'éducation juste par la punition juste, nécessiterait du personnel. Et le personnel, dans la Police et dans la Gendarmerie manque cruellement à l'équilibre de la société : c'est pourquoi, les Sachants en suppriment 8.000 postes !
Désormais, 5 à 8 millions d'automobilistes sont punis chaque année, fortement, mais pour des faits globalement mineurs.
Mais 2 à 3 millions roulent désormais aussi sans permis, sans assurance et de plus en plus dans des voitures volées (les juges, qui SONT la loi comme nous l'a confié un d'entre-eux, les nomment "empruntées", car le frisson de la délinquance leur donne envie de participer eux aussi à la modernité). Dans ces conditions, bien sûr plus de drames sont inévitables.
Heureusement, il y a LA solution : le radar, si cher aux Sachants-radaristes, et si chers (coûteux) au contribuable qui paie à la fois l'appareil (souvent construit à l'étranger mais heureusement distribué par l'ami français). Le délit est d'une certaine façon ainsi encouragé.
Répétons donc que tant que le Code de la Route ne sera pas appliqué intelligemment, tant que les policiers seront habillés en percepteur (et donc non respectés), tant que ces mêmes policiers, les rares fois où ils font une opération sur le terrain, n'auront pas le matériel et la formation des Polices de la Route des pays modernes et donc moins dangereux (voir notre article sur le mortalité sur route en Europe), alors la France restera parmi les cancres.
Pour conclure, un constat s'impose au-delà de la route : la France bat des records d'accidents de toutes sortes (ménagers, travail, incendies, froid) et de suicides (vice-record mondial), et les Sachants continuent dans leur aveuglement méprisant : qu'ils n'aiment pas le peuple qui les élit ou leur garantit des carrières en or, est certain ; mais c'est une chose qui pourrait, dans leur propre intérêt, être mieux évaluée.
Une bonne instruction civique pour tous, au lieu des atermoiements mélangistes et aculturels, serait déjà une preuve de respect envers la population, de très jeune à moins jeune : déjà, l'école, elle aussi en perdition bien sûr, prouverait à ceux-ci sinon à ceux-là, qu'elle sert quand même un peu à quelque chose, puisqu'enfin on y apprendrait la NOTION DE RESPECT.
Et pour les forces de l'ordre, en pratique, ce serait plus clair : ils discerneraient mieux les vrais tarés, au comportement dangereux, et ne s'opposeraient pas alors à eux défendus seulement de leur propre corps.