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Le matin du 28 octobre, 62 pays ont pris la parole à l'occasion de l'Examen périodique universel (EPU) de la Gambie, aux Nations unies à Genève, afin d'exhorter les autorités de ce pays à promouvoir et protéger les droits fondamentaux. Parmi les motifs de préoccupation exprimés par les États membres des Nations unies figuraient les restrictions injustifiées du droit à la liberté d'expression et la reprise des exécutions en Gambie.
"Les États membres des Nations unies ont clairement signifié à la Gambie que son gouvernement doit mettre un terme au règne de la peur et de la répression. La manière dont la Gambie a muselé l'opposition a eu un effet dévastateur et paralysant sur les défenseurs des droits humains, les journalistes et les militants politiques, qui sont constamment visés par des agressions brutales pour avoir simplement exercé leur droit à la liberté d'expression. Les États membres des Nations unies viennent de dire à la Gambie que trop, c'est trop", a déclaré Steve Cockburn, directeur régional adjoint pour l'Afrique de l'Ouest et centrale à Amnesty International.
Des journalistes ont été victimes de disparitions forcées en Gambie, tandis que des militants ont subi la torture - notamment des brûlures aux jambes causées par de l'huile bouillante et des lacérations dans le dos infligées à l'aide de tiges de métal - pour avoir dénoncé des violations des droits humains commises par l'État.
"Les États membres des Nations unies ont clairement signifié à la Gambie que son gouvernement doit mettre un terme au règne de la peur et de la répression. La manière dont la Gambie a muselé l'opposition a eu un effet dévastateur et paralysant sur les défenseurs des droits humains, les journalistes et les militants politiques, qui sont constamment visés par des agressions brutales pour avoir simplement exercé leur droit à la liberté d'expression. Les États membres des Nations unies viennent de dire à la Gambie que trop, c'est trop", a déclaré Steve Cockburn, directeur régional adjoint pour l'Afrique de l'Ouest et centrale à Amnesty International.
Des journalistes ont été victimes de disparitions forcées en Gambie, tandis que des militants ont subi la torture - notamment des brûlures aux jambes causées par de l'huile bouillante et des lacérations dans le dos infligées à l'aide de tiges de métal - pour avoir dénoncé des violations des droits humains commises par l'État.