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Des militants du monde entier ont pris part à des actions de protestation et à des manifestations publiques mardi 22 juillet afin de sensibiliser l’opinion à la terrible situation des droits humains en Gambie, où de nombreuses personnes vivent dans la crainte de connaître une arrestation arbitraire, la torture et une disparition forcée. En Gambie, cet anniversaire est traditionnellement célébré sous le nom de "Journée de la liberté".
"Cela fait exactement 20 ans que la peur règne en Gambie, pays où la liste des victimes de violations des droits humains n’en finit pas de s’allonger. Les autorités gambiennes doivent enquêter sur les plaintes déposées par les victimes d’atteintes aux droits humains et traduire en justice les auteurs présumés de ces actes. Elles doivent en outre abroger les lois rendant cette répression possible", a déclaré Stephen Cockburn, directeur régional adjoint pour l’Afrique de l’Ouest et centrale à Amnesty International.
Les journalistes, les défenseurs des droits humains, les militants politiques et d’autres Gambiens sont fréquemment pris pour cible pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression.
Une série de lois adoptées depuis l’arrivée au pouvoir du président Jammeh en 1994 permet que ces violations soient perpétrées dans une impunité quasi-totale et dissuade les victimes de chercher à obtenir réparation.
"Cela fait exactement 20 ans que la peur règne en Gambie, pays où la liste des victimes de violations des droits humains n’en finit pas de s’allonger. Les autorités gambiennes doivent enquêter sur les plaintes déposées par les victimes d’atteintes aux droits humains et traduire en justice les auteurs présumés de ces actes. Elles doivent en outre abroger les lois rendant cette répression possible", a déclaré Stephen Cockburn, directeur régional adjoint pour l’Afrique de l’Ouest et centrale à Amnesty International.
Les journalistes, les défenseurs des droits humains, les militants politiques et d’autres Gambiens sont fréquemment pris pour cible pour avoir exercé leur droit à la liberté d’expression.
Une série de lois adoptées depuis l’arrivée au pouvoir du président Jammeh en 1994 permet que ces violations soient perpétrées dans une impunité quasi-totale et dissuade les victimes de chercher à obtenir réparation.