France attentat au siège d'un journal satirique.mp3 (143.47 Ko)
Cet attentat, perpétré par des tireurs masqués qui ont fui les lieux après une fusillade avec la police, a fait au moins 12 morts et de nombreux blessés dans les locaux du journal.
"C’est une journée noire pour la liberté d’expression et pour une presse libre. Mais plus que tout, c’est une tragédie humaine insensée. Ce crime atroce visait à assassiner des journalistes, réprimer la liberté d’expression et répandre la peur. Il doit être fermement condamné, et les autorités françaises doivent s’assurer que les responsables soient traduits en justice lors d’un procès équitable. Les journalistes menacés doivent être protégés, ils doivent pouvoir continuer leur travail sans craindre pour leur vie", a déclaré Stephan Oberreit, directeur d’Amnesty International France.
Charlie Hebdo, journal satirique hebdomadaire basé à Paris, avait déjà soulevé la controverse en publiant des dessins jugés insultants envers l’Islam. Selon Amnesty International, la liberté d’expression englobe aussi la diffusion d’idées qui peuvent être considérées comme insultantes ou offensantes.
"C’est une journée noire pour la liberté d’expression et pour une presse libre. Mais plus que tout, c’est une tragédie humaine insensée. Ce crime atroce visait à assassiner des journalistes, réprimer la liberté d’expression et répandre la peur. Il doit être fermement condamné, et les autorités françaises doivent s’assurer que les responsables soient traduits en justice lors d’un procès équitable. Les journalistes menacés doivent être protégés, ils doivent pouvoir continuer leur travail sans craindre pour leur vie", a déclaré Stephan Oberreit, directeur d’Amnesty International France.
Charlie Hebdo, journal satirique hebdomadaire basé à Paris, avait déjà soulevé la controverse en publiant des dessins jugés insultants envers l’Islam. Selon Amnesty International, la liberté d’expression englobe aussi la diffusion d’idées qui peuvent être considérées comme insultantes ou offensantes.