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Le 6 septembre, le nouveau texte a été soumis à l’approbation du président Ratu Epeli Nailatikau.
"Contrairement à ce qu’a affirmé le gouvernement de Fidji au cours des derniers mois, la nouvelle constitution assure une moins bonne protection des droits humains", a déclaré Isabelle Arradon, directrice adjointe du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International..
Le nouveau texte maintient des décrets restreignant considérablement la liberté d’expression, et en cas d’état urgence il donne aux autorités le pouvoir de détenir indéfiniment des personnes sans inculpation ni jugement. Le projet de constitution accorde également aux agents de l’État l’immunité pour de nombreux actes y compris des crimes relevant du droit international, la torture par exemple.
"Contrairement à ce qu’a affirmé le gouvernement de Fidji au cours des derniers mois, la nouvelle constitution assure une moins bonne protection des droits humains", a déclaré Isabelle Arradon, directrice adjointe du programme Asie-Pacifique d’Amnesty International..
Le nouveau texte maintient des décrets restreignant considérablement la liberté d’expression, et en cas d’état urgence il donne aux autorités le pouvoir de détenir indéfiniment des personnes sans inculpation ni jugement. Le projet de constitution accorde également aux agents de l’État l’immunité pour de nombreux actes y compris des crimes relevant du droit international, la torture par exemple.