Illustration (c) LPJ
La vie d’un entraineur est ponctuée par deux grands axes de communication : soit il doit mettre en valeur son image pour atteindre des objectifs bien précis, soit il doit faire face aux menaces liées à sa mise en accusation à chaque fois où son équipe est en difficulté, et faut-il le rappeler, cette situation et très courante au sein des équipes algériennes.
L’image de l’entraineur peut se construire très rapidement, mais lorsqu’elle est faite, il est difficile de la changer, c’est pourquoi il est impératif de la mettre sur de bonnes fondations et surtout ne pas la laisser dépendre uniquement des résultats obtenus, car même si c’est l’entraineur qui sert de bouc-émissaire, les causes de l’échec résultent souvent des mauvaises conditions de travail, et du manque de temps qui lui est consacré. L’entraineur doit donc construire son image, en se basant en grande partie sur sa personne : sa formation, sa vision sur le football, son style, sa personnalité et sa capacité de gestion, bref le projet dont il est porteur. Tout ça doit toucher deux publics distincts : d’une part l’opinion publique en général et les supporteurs des équipes visées, d’autres part les employeurs potentiels car c’est eux qu’il faut convaincre avant tout.
Cependant, il est impossible d’échapper à l’acharnement des médias et des dirigeants de l’équipe en cas d’échec, et l’entraineur se trouve confronté à une pression qui peut ruiner sa carrière. Cette situation représente pour lui une véritable crise, dont les caractéristiques sont : la médiatisation, la déstabilisation de l’organisation, l’incertitude quant à son avenir… et parfois même toutes sortes d’accusations. Dans cette situation aussi il faut communiquer, et il faut s’adresser aux différents publics, en particulier à ceux qui sont les plus hostiles. L’entraineur doit avoir deux objectifs, en priorité il doit tenter de garder son emploi, s’il arrive à prouver qu’il n’est pas responsable de l’échec ou du moins que sa responsabilité est partielle. Si cette option s’avère impossible (si les dirigeants veulent à tout prix un bouc-émissaire) il doit tenter de défendre sa propre image et sa crédibilité en tant qu’entraineur, afin qu’il puisse se relancer dans un autre défi, mais il faut noter que sans anticipation il lui est inespéré d’atteindre cet objectif.
L’acquisition des compétences en matière d’image et de communication, permettra à l’entraineur algérien d’aspirer à une carrière plus épanouie et plus sereine, en plus de la possibilité de le voir évoluer dans des championnats encore jamais explorés par ses prédécesseurs.
L’image de l’entraineur peut se construire très rapidement, mais lorsqu’elle est faite, il est difficile de la changer, c’est pourquoi il est impératif de la mettre sur de bonnes fondations et surtout ne pas la laisser dépendre uniquement des résultats obtenus, car même si c’est l’entraineur qui sert de bouc-émissaire, les causes de l’échec résultent souvent des mauvaises conditions de travail, et du manque de temps qui lui est consacré. L’entraineur doit donc construire son image, en se basant en grande partie sur sa personne : sa formation, sa vision sur le football, son style, sa personnalité et sa capacité de gestion, bref le projet dont il est porteur. Tout ça doit toucher deux publics distincts : d’une part l’opinion publique en général et les supporteurs des équipes visées, d’autres part les employeurs potentiels car c’est eux qu’il faut convaincre avant tout.
Cependant, il est impossible d’échapper à l’acharnement des médias et des dirigeants de l’équipe en cas d’échec, et l’entraineur se trouve confronté à une pression qui peut ruiner sa carrière. Cette situation représente pour lui une véritable crise, dont les caractéristiques sont : la médiatisation, la déstabilisation de l’organisation, l’incertitude quant à son avenir… et parfois même toutes sortes d’accusations. Dans cette situation aussi il faut communiquer, et il faut s’adresser aux différents publics, en particulier à ceux qui sont les plus hostiles. L’entraineur doit avoir deux objectifs, en priorité il doit tenter de garder son emploi, s’il arrive à prouver qu’il n’est pas responsable de l’échec ou du moins que sa responsabilité est partielle. Si cette option s’avère impossible (si les dirigeants veulent à tout prix un bouc-émissaire) il doit tenter de défendre sa propre image et sa crédibilité en tant qu’entraineur, afin qu’il puisse se relancer dans un autre défi, mais il faut noter que sans anticipation il lui est inespéré d’atteindre cet objectif.
L’acquisition des compétences en matière d’image et de communication, permettra à l’entraineur algérien d’aspirer à une carrière plus épanouie et plus sereine, en plus de la possibilité de le voir évoluer dans des championnats encore jamais explorés par ses prédécesseurs.