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Les coptes sont pris pour cible, à titre semble-t-il de représailles parce qu’ils étaient favorables à la destitution du président Mohamed Morsi, depuis la dispersion violente des sit-ins de manifestants pro-Morsi tenus au Caire et dans sa banlieue le 14 août. Plusieurs d’entre eux ont été tués, tandis que leurs églises, leurs commerces et leurs maisons ont été attaqués.
"En n’empêchant pas ces attaques interconfessionnelles et en ne protégeant pas les coptes, les forces de sécurité ont manqué de façon choquante à leurs obligations. Les actes violents dont est victime cette communauté auraient dû être anticipés à la lumière de la multiplication spectaculaire d’actes similaires depuis que Mohamed Morsi a été destitué", a indiqué Hassiba Hadja Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.
"En n’empêchant pas ces attaques interconfessionnelles et en ne protégeant pas les coptes, les forces de sécurité ont manqué de façon choquante à leurs obligations. Les actes violents dont est victime cette communauté auraient dû être anticipés à la lumière de la multiplication spectaculaire d’actes similaires depuis que Mohamed Morsi a été destitué", a indiqué Hassiba Hadja Sahraoui, directrice adjointe du programme Moyen-Orient et Afrique du Nord d’Amnesty International.