Elle venait d'ouvrir le Subway local et s'affairait dans la cuisine quand elle a aperçu ce qu'elle a d'abord cru être son premier client de la matinée, mais elle a très vite réalisé que c'était un jeune ours. Quand elle a pensé qu'il s'approchait de la cuisine, elle a couru s'enfermer dans les toilettes d'où elle a pu appeler sa famille. Grâce aux caméras de surveillance, il a été possible de reconstituer le déroulement des événements. L'animal a manipulé la poignée de la porte, grimpé sur le comptoir et flairé de son museau les différents aliments exposés qui entrent dans la composition des sandwiches de cette célèbre enseigne. Puis il est ressorti le plus tranquillement du monde. Malheureusement pour lui, les policiers l'attendaient et impitoyables l'ont abattu. Ils ont avoué qu'ils avaient eu peur que le plantigrade ne revînt plus tard sur le lieux... Il faut dire que dans cette région les ours sont nombreux, cependant ils n'attaquent pas souvent. Toutefois, le mois dernier, un ours d'une agressivité peu courante a sauté dans la barque d'un pêcheur et s'est jeté sur lui. On rapporte aussi qu'en août près de Vancouver, on avait dû en abattre deux surpris dans une zone résidentielle. Quant à notre pauvre ours, il avait dédaigné les produits exposés sur le comptoir sans doute parce qu'il n'avait pas le goût encore éduqué ou peut-être ne lui inspiraient-ils pas confiance...
On ne peut quand même pas imaginer une publicité qui déclarerait : même les ours n'en veulent pas !
A Lesbos, "terre des nuits chaudes et langoureuses", si l'on en croit Baudelaire dans son poème éponyme des Fleurs du mal, qui fut d'ailleurs censuré en son temps ! décidément, il se passe toujours quelque chose. On se rappelle cet interminable procès opposant les habitants de l'île aux communautés homosexuelles qui revendiquent pour une partie d'entre elles, l'appellation de lesbiennes. Ce que contestent les îliens qui n'osent plus, disent-ils, avouer sans gêne qu'ils sont Lesbiens ! Ces jours-ci donc, deux avions, l'un de la compagnie grecque Olympic Airlines et l'autre de Slovakian Airlines ont été obligés de tournoyer au-dessus de l'île pendant une quarantaine de minutes pour attendre que leur soit donnée l'autorisation d'atterrir. Les pilotes ont appelé en vain à plusieurs reprises la tour de contrôle mais celle-ci est demeurée désespérément muette. Finalement, ce sont les services de contrôles aériens secondaires de l'aéroport qui ont guidé les deux aéronefs pour leur permettre d'atterrir sans encombre sur l'aéroport de Mytilène...
On a découvert par la suite que le contrôleur aérien, une femme, géographiquement Lesbienne, s'était tout simplement endormie à son poste. Il paraît qu'elle encourt une suspension d'une durée de deux semaines.
On ne peut quand même pas imaginer une publicité qui déclarerait : même les ours n'en veulent pas !
A Lesbos, "terre des nuits chaudes et langoureuses", si l'on en croit Baudelaire dans son poème éponyme des Fleurs du mal, qui fut d'ailleurs censuré en son temps ! décidément, il se passe toujours quelque chose. On se rappelle cet interminable procès opposant les habitants de l'île aux communautés homosexuelles qui revendiquent pour une partie d'entre elles, l'appellation de lesbiennes. Ce que contestent les îliens qui n'osent plus, disent-ils, avouer sans gêne qu'ils sont Lesbiens ! Ces jours-ci donc, deux avions, l'un de la compagnie grecque Olympic Airlines et l'autre de Slovakian Airlines ont été obligés de tournoyer au-dessus de l'île pendant une quarantaine de minutes pour attendre que leur soit donnée l'autorisation d'atterrir. Les pilotes ont appelé en vain à plusieurs reprises la tour de contrôle mais celle-ci est demeurée désespérément muette. Finalement, ce sont les services de contrôles aériens secondaires de l'aéroport qui ont guidé les deux aéronefs pour leur permettre d'atterrir sans encombre sur l'aéroport de Mytilène...
On a découvert par la suite que le contrôleur aérien, une femme, géographiquement Lesbienne, s'était tout simplement endormie à son poste. Il paraît qu'elle encourt une suspension d'une durée de deux semaines.
Un musée de saison
